Translate

dimanche 29 avril 2018

Chico Hamilton Quintet & Eric Dolphy - The Original Ellington Suite. En cette journée printanière Monochrome


Chico Hamilton Quintet & Eric Dolphy - The Original Ellington Suite - In A Sentimental Mood




J'écoute la "mood" de Chico et de Eric. En ce dimanche matinal je regarde dehors la fuite des couleurs, comme ces images que l'on jurerait en noir et blanc jusqu'à ce qu'une vague couleur nous apparaisse. Dehors j'ai un vert que le gris des nuages tente de faire disparaître.

C'est comme si je naviguais sur mon fleuve à peine visible, un moment idéal pour superposer ses pensées intérieures et sa vision extérieure.

Je l'aime bien mon fleuve, il me porte et cale plus facilement mes écoutes.

samedi 28 avril 2018

Gene Chandler le Second Couteau & Nicole Willis déjà!


Le monsieur, quand on fouille on trouve peu. Pas grand chose à en dire si il ne m'était pas arrivé aux oreilles:

Cela aurait pu être son seul tube (Un seul tube? On se demande.)

Gene Chandler - Duke Of Earl


Sympa, ceci dit quand je me suis mis à l'écouter, mais non, ce n'est pas celui là.

Et comme tout les artistes qui doivent survivre, portés par l'air du temps, l'air qui parfois fait danser, oui, j'aurai pu raconter comment je me suis remué la dessus:

samedi 21 avril 2018

Yes Tales (toi Faire) From Topographic Oceans: Mais oui, mais oui, 20 minutes de sans faute!!!


Au commencement vint le vélo, sans roue!!
Quand je pédale en toute sécurité il me faut de la musique.

Je pensais et même me souvenais de tout le mal que j'ai colporté sur ce "Tales.." payé avec mon argent de poche. Quatre faces et une seule que j'écoutais régulièrement.

Tiens? Régulièrement?

vendredi 20 avril 2018

Deux moments à raconter: Gary Allan & Apartments. Le look, l'année, l'image (Bonus Campbell, pas de la soupe)


Ça m'est revenu avec la chronique de Jimmy
Plus précisément, la pochette du disque raconté (cliquette sur la pochette et de sa chronique te régalatte)


Et de suite j'ai craint le quiproquo. Ce qui est arrivé à l'écoute. Je le subodorais après la référence à Jeffrey, ça sent la déglingue sincère ou artificielle mais sûrement pas ce que la pochette évoque au premier degré.
Et là, moi, ces temps ci, printemps et belle chaleur, ce que je veux c'est du 1er degré (Boisson s'abstenir)

Un look pareil c'est d'office un hymne à la vie, cool, décontracté, le genre "même pas je transpire", on se plante devant le soleil et on écoute:

Gary Allan - Smoke Rings In The Dark - Smoke Rings In The Dark


dimanche 15 avril 2018

Zappa Uncle Meat. Bâclons, bâclons comme dirait Liliane, il en restera bien quelque chose


Pour Liliane, cherchez pas trop.
Nous sommes dans le calembour spatial.
J'avais bien "Rencontre Avec Zappa (Meet Zappa)" mais c'était trop facile.
Tandis qu'ici, le calembour a à voir avec le nom de famille de Liliane, qui ne passe jamais sur les blog.
- C'est absurde!
- Oui, c'est bien la seule qualité de ce calembour d'ailleurs.

Pourquoi bâcler? Parce que EWG m'a fait entrevoir HOT RATS (Willie The Pimp) et que j'étais pressé de m'y rendre.
Mais un reste d'ASPERGER? En tout cas je ne me résous pas à sauter un noeud  du fil rouge Zappa.

Or MEAT est avant HoT.
Dont acte.

Je pensais me contentais de cette introduction en guide de fin de chronique. Avec un ou deux extraits.
Justement:

Uncle Meat, Main Title Theme


Je cite

La structure est écrite en 3/4 pour Marimba, basson, clavecin et caisse claire. Le basson (Bunk Gardner) joue des cycles de notes rondes et liées, sur lesquelles le clavecin (Don Preston) fait rebondir des motifs en croches. Le marimba (Ruth Romanoff) interprète la mélodie aux traits parfois fulgurants, en triple croches, doublés rythmiquement par la caisse claire (Arthur Tripp). Rien de ce qui existe à cette période ne ressemble de près ou de loin à ce genre de musique.
Delbrouck F Zappa Chronique Discographique 1994 

mercredi 4 avril 2018

Une Zapparté sur un de mes morceau solo favori: Zappa - Sheik Yerbouti- Yo' Mama


Nous échangions avec Charlu, à propos de Stevie Ray Vaughan, Gary Moore....

ICI (ici tu cliques)

J'évoquais ce titre, ce morceau que j'écoute avec une régularité confondante d'imprécision depuis 40 (QUARANTE!!) ans

Si j'avais eu un jour envie d'apprendre un instrument, une guitare au hasard, cela aurait été pour jouer ce titre?
J'ai en tête toute les grimaces, les poses nécessaires pour que le public frissonne.

C'est sa scénarisation qui me fascine, un peu comme "Every Step Of The Way" de Santana ou "Starless" de King Crimson

Scénarisé dans le sens que le titre est construit comme un suspense, avec une introduction chanté (quelques conseils de bon sens), un démarrage guitare peut-être technique, démonstratifs? Énervant?

Une rupture tout en heurt pour au milieu, enfin, la révélation, la partie guitare & synthé pour nappes de réponses.
Pour que le maître puisse s'avancer en pleine lumière et jouer ses notes sous un projecteur qui l’élève.

À 6:50 du début du titre

Après c'est que de l’esbroufe comme Page savait lui aussi en faire, un solo chant comme un Neil Young moins tourmenté.

Ça raconte une belle histoire.

PLAY IT LOUD



Ça me fait penser à un fil que je me devais de renouer... La SagaZappa fini!!

(Au fait tu es certains que c'est Zappa qui joue?
- Heuuuuuu  )

lundi 2 avril 2018

C'est vrai quand même, Graham Parker quoi!!


L'envie date, mais le déclic couleur pied au cul est récent.
Téléphone Apple sur une table, il est 7h30 du matin, vendredi dernier.
Casque sans fil, salle de sport de ma société, de mouvements gymnastiques en ce qui me concerne.

Et puis voilà



Et pendant que le frisson, de quarante ans le frisson, me chairdepoulait une fois encore, je me souvenais d'un blogueur, king of the Opinion Reverse, expliquer que le Graham, second couteau au souffle court, génial dans sa moyenneté, mais sans avoir décollé faute de...
Bon, ce ne sont pas ses termes, c'est mon souvenir d'impression.

C'est donc ce matin de vendredi que je décidais de retourner (Tiens? Retourner, comme une crêpe) cette opinion.