(Remarque: Attention, sur certains explorateurs tel SAFARI le lecteur de ZIPPY déclenche tous les titres simultanément, ça peut faire de l'effet, mais ce n'est pas mon propos, CHROME OK)
Costello, Elvis forcément puisque pris dans sa bio, bourré de références musicales à s'interrompre pour découvrir, écouter et par conséquent ralentir sa lecture, pour mon plus grand plaisir.
Et le QMAG, a choisi ce titre bien pêchu de l'Elvis, tiré de l'album qui me l'a fait connaître et plus jamais lâché.
Pour leur mini playlist, accompagné d'un Dylan au texte aussi peu facile à interpréter et un Teardrop à la rythmique aussi tapante
(Remarque: Attention, sur certains explorateurs tel SAFARI le lecteur de ZIPPY déclenche tous les titres simultanément, ça peut faire de l'effet, mais ce n'est pas mon propos, CHROME OK)
Tout est dans le Whatever, sinon je ne comprends pas bien.
Mais avec Whatever, je comprends, donc c'est ça.
L'analogie proposée par QMAG? Les textes...
Musicalement rien pour rapprocher, si ce n'est ce que PAVEMENT ouvre avec efficacité sa nonchalance désenchantée.
Cette désinvolture lourde, héritage du Velvet Underground.
Mon blocage pop le plus malheureux. Si je peux écouter, peu de plaisir s'en dégage.
Pas quand le Velvet Pop à la Kinks - "Sunday Morning" - ça j'aime mais ce n'est pas là la raison de leur notoriété.
Plutôt quand il se lance dans des titres lourds tel "The Gift"
Pourtant je me soigne, quelques signes encourageants mais sans suite: j'aime Lou Reed, même ses live bavards "Take No Prisoners"
Mais le Velvet NoPop? J'arrive pas.
Pendant que je vous écris, je me passe "Sister Ray" ... J'arrive pas, j'essaie, mais j'arrive pas!!
(Remarque: Attention, sur certains explorateurs tel SAFARI le lecteur de ZIPPY déclenche tous les titres simultanément, ça peut faire de l'effet, mais ce n'est pas mon propos, CHROME OK)
C'est bien simple, Dico Assayas (the 2014 one), chapitre SCAFFOLD. Juste un bout de phrase:
Les amateurs de Paul McCartney seraient bien avisés de se mettre en quête du deuxième album solo de Mike McGear McCartney l'a réalisé, cosignant toutes les chansons avec Mike. Il est tout à fait dans le ton des albums des Wings
(Remarque: Attention, sur certains explorateurs tel SAFARI le lecteur de ZIPPY déclenche tous les titres simultanément, ça peut faire de l'effet, mais ce n'est pas mon propos, CHROME OK)
De toute façon j’étais bien décidé à commenter ma lecture de la bio écrite - vraisemblablement – par Elvis Costello. J’ai déjà raconté et raconterai encore toute mon admiration pour cet artiste dont j’ai été un grand fan, la seule fois d’ailleurs.
Encore aujourd’hui, si je me regarde dans une glace en étant content du résultat c’est aussi grâce à lui, vous dire qu’on ne parle pas que de musique.
Quel rapport ? Hum, pas faux.
Revenons à la bio.
Je pensais la lire et commenter vers la fin, dire que c’était la meilleure que j’ai pu lire etc… Toute ma panoplie de mauvaise foi au cas où.
Mais voilà.
Il se trouve que c’est bien mieux que ça.
Ce livre fait 740 pages et je n’en suis qu’à la page 114… et déjà sa bio se détache de celles que j’ai pu lire. Ça parle de musique avant tout et de lui à travers sa carrière et ses rencontres.
Contrairement à l’habitude, ce n’est pas chronologique et donc on n’a pas à se farcir des pages et des pages d’enfance, ce qui oblige l’auteur à dépasser notre intérêt à son expérience et à faire preuve d’un vrai talent littéraire…
Costello préfère distiller des incursions toute époque confondue, y compris son enfance, qui parlent avant tout de musique.
Sans oublier ce ton qui lui est si particulier, ainsi sur ce concert en 1978 :
« Jouer notre new-wave caustique et de plus en plus hargneuse dans une boum de lycée – comme tête d’affiche d’un spectacle où le rock de Nick Lowe côtoyait le Rockpile de Dave Edmunds et le mélodrame junkie et cartoonesque de Mink de Ville – était une forme d’exploit »
Ses souvenirs d’enfance passent par Hammersmith palais, puisque son père chantait dans l'orchestre de Joe Loss . Forcément ça vous fait des souvenirs de gosse déjà dans la musique, bonheur pour le lecteur
"... Les chauffeurs de taxi londoniens me réjouissaient quand ils me disaient: - Dans le temps, j'allais voir votre père chanter au palais Avant d'ajouter immanquablement: - C'était un meilleur foutu chanteur que vous ne le serez jamais. Une déclaration qui ne suscitait jamais la moindre protestation de ma part."
"Lorsque les Attractions et moi avons joué pour la première fois au Palais en Janvier 1979, un critique musicale nous a - défavorablement - comparés à Freddie and the Dreamers J'ai su que le succès était arrivé"
J'ai songé à Tony et à nos débats quasi comiques pour déterminer si le tout frais sorti "Imagine" était une grosse bouse ou une oeuvre de génie; à nos discussions animées sur les mérites de "Working Class Hero " et la légitimité de Lennon pour la chanter...
Ma propre apparence pâle et tremblante dans ce clip est la conséquence de l'après-midi de la veille, entièrement consacré à déguster des single malts avec un gentleman rencontré au bar de l'hôtel.
Ce monsieur, directeur d'une école privée de Manchester, s'est révélé être un enthousiaste défenseur des distilleries de malt, doublé d'un homme déterminé à noyer ses soucis et ses responsabilités dans une lente et digne exploration des plus rares et des meilleurs whiskies alignés derrière le comptoir du bar.
Je n'ai pas eu le sentiment qu'il s'intéressait beaucoup à ma notoriété ou à mon activité. Il avait simplement besoin d'un compagnon de beuverie qui sache suivre le rythme d'une conversation brièvement relancée entre deux plages d'agréable silence.
Encore un, le dernier...
Quarante ans plus tard, j'ai invité Lee Konitz à venir me rejoindre dans un studio New-Yorkais pour jouer sur un morceau de "North", un album qui réunit des chansons d'amour perdu et retrouvé. Il a ajouté un magnifique solo de Saxophone alto sur la coda de ma chanson "someone took the words away". A la fin de la séance, j'ai raconté à Lee comment ma mère importait clandestinement ses disques en Angleterre, et je lui ai demandé de bien vouloir lui dédicacer la lead sheet du morceau. Avec ce sens de la concision qui le caractérisait, il a écrit: "Merci, Liliian, Lee Konitz"
(A propos d'un concert des Stones, époque Sticky Fingers)
Je me suis réveillé en retard le jour où les tickets ont été mis en vente. Le temps d'arriver à l'Empire Théâtre, la plupart des élèves de mon école faisaient déjà la queue pour obtenir leur place, formant une vague qui serpentait autour du pâté de maison, sur deux ou trois rangées. J'ai affectait l'indifférence adolescente, entamant la conversation suivante avec moi-même: - Les Rolling Stones? - Ouais, ils ont sans doute fait leur temps. Et j'ai finalement décidé de dépenser l'argent que j'avais économisé pour acheter un disque. Tout ça aurait fait une bonne histoire si mon choix s'était porté sur un disque plus enthousiasmant et pérenne que "Volunteers" de Jefferson Airplane
Je repoussais, je repoussais le moment de m'y remettre. Alors que j'aimais bien la démarche, pour des playlist, pas un BEST OF mais un BEST FOR...
Culpabilité... Un grand titre de James Carr, Q MAG associe des titres à la thématique similaire, mais pas la musique.
La country, temps de s'y mettre. Et donc...
(Remarque: Attention, sur certains explorateurs tel SAFARI le lecteur de ZIPPY déclenche tous les titres simultanément, ça peut faire de l'effet, mais ce n'est pas mon propos, CHROME OK)
(Remarque: Attention, sur certains explorateurs tel SAFARI le lecteur de ZIPPY déclenche tous les titres simultanément, ça peut faire de l'effet, mais ce n'est pas mon propos, CHROME OK)
Vous savez ces titres qui vous choppent de suite par ce gimmick. J'imagine la joie de l'artiste quand ce truc lui vient au réveil.
- Vite, avant que cela ne m'échappe:
(Remarque: Attention, sur certains explorateurs tel SAFARI le lecteur de ZIPPY déclenche tous les titres simultanément, ça peut faire de l'effet, mais ce n'est pas mon propos) ("Mes" abonnés à "mon" Drop&Box peuvent charger la compilation surprise des 100 titres, les autres? Envoyez une adr mail à lusdevant AT yahoo POINT fr)
Bon, petite grande absence pour congés d'été. Alors voilà une compil IpMix comme je les aime. Attention il y a un mode d'emploi
Comparons:
Spotify et sa "radio", à partir d'un titre, cette radio cherche des chansons qui peuvent accompagner. Pas mal, des critères objectifs, efficace mais sans surprise, même si jamais entendu c'est rarement étonnant. Et pour cause, c'est le but. Le risque? Ne plus avoir envie d'écouter le titre moteur.
(Remarque: Attention, sur certains explorateurs tel SAFARI le lecteur de ZIPPY déclenche tous les titres simultanément, ça peut faire de l'effet, mais ce n'est pas mon propos)
Non, ceci n'est pas un teaser hypocrite, mais bien un de mes rares moments où réalité et musique (et culture) se rejoignent.
J'avais même travaillé sur un papier tout personnel que j'ai hélas effacé. Alors j'ai pris mon temps pour y revenir. Changer l'angle d'ouverture pour laisser de la place à la spontanéité.