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dimanche 28 novembre 2021

Drole De Dame: Abba, Diana Ross .... Joan As Police Woman


Oui, je me suis dit qu'un seul clin d'oeil ne valait pas mieux que deux sourds qui ne veulent rien voir.

Hum, oui, bizarre.

Commençons par l'inattendu sans pour autant être mécontenté. 


 Comme le dit si bien le ROLLING STONE "Plötzlich Lieben Alle ABBA"

- (Pouvez vous traduire?)
- (Pas toujours, mais là oui!)

Première réflexion à partager: 
Que vaut cette idée d'avatar pour rester jeune sur scène? Elle vaut bien mieux que la chirurgie inesthétique. 
Je me vaguement souviens d'un livre de Brunner. Un monde où vous pouviez insérer vos avatars dans dans des aventures télévisées. Ceux qui n'avaient plus les moyens de payer les mises à jour continuaient à regarder ces images sans  prendre conscience de leurs vieillissements. 
À méditer même sans bien savoir quoi en penser.

Deuxième réflexion à partager:
Une partie de cette chanson entêtante (comme le reste de l'album) me faisait penser à ... quoi? Recherche dans ma mémoire assez mal rangée sur ces sujets... Quand soudain, sans être certain...
...


Oui, c'est fièrement que je pose, ma découverte me monte à la tête. Certes ma photo n'est pas très clair, et ma démonstration non plus. Pourtant il y a similitudes, non?

Un peu quand même! En tout cas la conclusion si il était encore nécessaire de le rappeler, ABBA fait de la bonne pop Italienne.

Et si mon montage rustique est censuré faites vous une idée en écoutant le premier titre à 1:25 et le deuxième à 1:01 (Felicita de Al Bano et Romina Power) ...

Une autre inattendue...


Une réflexion? Non? Bon passons à celle par contre que je guettais en l'attendant, ou l'inverse.

Une artiste qui m'a bouleversé à travers ses oeuvres, des chansons que j'écoute sans arrêt, une qui me tourneboule régulièrement.

J'en profite et je fais une pause texte 


Voilà donc la dame: Joan Wasser qui a choisi ce pseudo tiré d'une série TV... Fin de l'aspect Wikipédia de mon papier. 

Un nouvel album


Elle fait partie de ces artistes dont j'écoute les albums en boucle. C'est mérité et puis rapidement récompensé.

Dans ce dernier opus j'ai fait fi de ma première impression, glaciale et qui tombait mal en cette fin d'automne.

Glaciale? Mauvaise première impression. 

En fait imaginons une fin de journée bien remplie de tension, de luttes, de concentration. Pouvoir enfin se poser. Pas facile de se détendre. Une tête pleine de pensées qui refusent d'être chassées. 

Encore une dernière lutte pour goutter enfin à un repos constructeur. Comme écouter un coeur qui bat, se mettre au diapason de ses titres qui aident enfin à s'abandonner.

Laissez vous envouter. 



Avant de vous quitter une pensée: j'ai découvert cet album - certes après plus d'un passage - comme j'ai découvert LODGER de David Bowie.

Cette période carrefour de sa carrière. Evolutive pleine de références au passé et son regard si personnel sur un futur proche.

Evolution, Joan ne renie pas son passé, l'intègre dans des collaborations comme... tiens, oui, comme Damon Albarn. 

Citer Bowie, est mon erreur, trop écrasant. Albarn c'est mieux. En commun cette pudeur que je confonds souvent à de la distance, de la froideur, comme une curiosité des musiques d'au-delà leurs frontières sans oser l'abandon. Une retenue qui s'interdit un racolage que j'apprécie par ailleurs quand je ne veux pas faire d'effort d'écoute.

Au fait, je triche car la référence n'est pas gratuite puisqu'il partage avec elle ce titre au chant:


Superbe, et comme le chante si bien Renaud, Je suis bien heureux d'être content.


Bonne soirée si votre lecture coïncide.