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lundi 22 janvier 2024

Wim Wenders. Perfect Days. Presque Perfect

 


Le dernier Wim Wenders « Perfect Days », j’en suis sorti tout chose, ému, bouleversé. Peu secoué mais bien remué. Si vous cherchez l’argument il n’y a rien d’attractif dans les événements racontés. Pour attirer le spectateur il faut insister sur la fabuleuse capacité qu’a eu Wim Wenders de filmer le bonheur de vivre, plutôt l’émerveillement qu’offre obligatoirement nos vies, pour démonstration un personnage au quotidien peu flamboyant. Et pourtant… Je vous laisse chercher davantage.

Ce papier pour surtout parler musique. Ce japonais a des gouts probablement atypiques, n’écoute que les années 70, sur des K7, mais attention : Patti Smith, Velvet, Lou Reed, Van Morrison …. Je dodelinais de la tête, la fierté mal placée de celui qui reconnait. 

Sauf deux saufs.

Premier sauf, un Rolling Stone que j’ai cru, sans reconnaitre, être un titre du Pink Floyd époque Syd Barret.

Donc nul je suis.


vendredi 12 janvier 2024

LA SOIF... Joe Nesbo, Beach House, Di Derre et ETC.... Warren Zevon? Non pourquoi? Parce que!

Oui, bon, pas vraiment pour insister sur l'écrivain de roman noir. Je ne dis pas, en fait si je dis, la Scandinavie et donc la Norvège offre un souffle supplémentaire au genre.

Mais si je devais insister je mettrai plus facilement en avant les livres de James Ellroy, histoires qui ne nous font pas courir à la fin pour le dénouement après avoir joué à le devancer (Pour la Soif j'avais deviné sans l'argumentaire), 
et si nous avons besoin de moment respirer, de souffler, si de la noirceur étouffante, c'est oui mais pas toujours, j'ai mon chouchou James Lee Burke qui offre de si grands horizons, de belles pauses déjeuner qui font saliver et qui pour le coup donne vraiment soif. Une envie de Louisiane?

Joe Nesbo profite de son intrigue de série de tueurs en série (je dévoile déjà trop?) pour parler musique. J'adooore ces occasions d'interrompre sa lecture pour retourner se plonger dans...

Bad Company, Bigstar...

Ready For Love