Ben oui, ça commence ici ==> (ton't forket tou clic on the link)
Nous nous retrouvons vite, nous? Potes et webpote, sur ces groupes sans chichi, sans gros tube qui rapporte et change la donne, un pied dans le passé, l'autre sur le rétroviseur et les deux mains sur le volant.
Orgue pas lourde à transporter (je crois?) un harmonica, guitares et batterie et des envies de public.
Côté Ranx nous trouvons les les "Fabulous.." EWG et son "Chuck"... chacun les siens, à échanger.
Mon regretté ami Kaserio, début 2.000 tenait à nous rappeler.. appeler en fait pour la plupart d'entre nous le Johnny Rivers. "Memphis"
Kaserio il l'aimait bien le Johnny. A tel point qu'il précisait rarement le nom, du coup plein de chances qu'il y ait quiproquo.
M. Rivers (autre quiproquo possible) il faisait des reprises, il composait peu, il n'était pas un dieu de quoique ce soit. Un timbre de voix et des albums en live au "Whiskey", un SON.
Du coup les reprises prenaient THE COLOR ambrée du coin. Même un truc des Supremes était absorbé "Stop! In The Name Of Love"
Marrant en ce début 60's c'était déjà rétro.
Comme si à l'époque il était nécessaire de se souvenir de la décennie précédente et si plus récent? Renvoie de la chanson vers le passé: "Can't Buy Me Love"
Y'en a qui, revenu de congé avec groupe de baloche encore sonnant aux oreilles, pourrait le comparer à un artiste de bal qui ferait sa tournée d'été.
A ceux là je répondrais que si je l'avais rencontré je n'aurais pas décollé le cul de ma chaise sauf...
"I've Got A Woman"
Retourné à ma table, repris deux gorgés ... sans m'assoir ...
Moins enlevé que le Jerry? Oui, mais sur Jerry je m'essouffle davantage.
Mais ça c'est une autre histoire. Mes efforts cardio méritent bien un autre sujet.
La bise et à suivre
Un petit rappel de cette ambiance, ce "clap your hand", l'appel entendu par les copines du rang devant et tutti quanti