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jeudi 23 février 2023

Aidez moi à trouver un quatrième, cinquième titre et pourquoi pas un xième et même... Pour démarrer ma journée et danser au petit-déjeuner

 


J'explique après, écoutez moi donc .... ORDINARY JOE

Dans le train en route pour ma Dort Dogne, soudain ce titre au hasard des mes compilations dynamiques. 
Ce titre j'aimais le passer tôt le matin quand je me préparais le petit déjeuner, ce truc me faisait faire des chorégraphies du tonnerre pour apporter le café sur la table.
Je l'envoie à ma mie qui est emballée.

En fait de ce genre, spontanément j'en ai trois:

Elvis


Et Elvis jamais ne renversait son café

Et Tom Jones


Voilà mes trois.
Alors? C'est moi ou bien il y a bien un truc en commun, le "snap your finger" le "move your booty", avec cette dose d'insouciance et d'énergie pour attaquer toute banane dehors sa journée.

Ha tiens, un qui pourrait déjà faire le quatrième

Van Morrison



Alors lecteur de passage... si après écoute te vient une évidence, pas une moitié une totale...

Dis moi tout ne me cache rien


Un Ajout de Everett (j'aurai juré que c'était deux verres et un T :-)  )

Un JAM, qui couvre les rythmes à TAMLA avec en + un tite dose d'énergisante.


Et Audrey, sans quitter Weller... Oui, je vote pour, tant pis si cela pousse à faire plusieurs voyages


Moi les violons







jeudi 16 février 2023

Andy Shauf & Louis Philippe. Tout commence par un chouette jeu de mot (quand je dis chouette...)



Vu le peu de succès de ma dernière chronique et surtout de la blague de Richard Wagner, artiste davantage connu pour ses opéras, je me suis dit

- ANTOINE,les majuscules n'y pourront rien, il faut que tu te reprennes.

Tiens une nouveauté inspirante, un Andy Shauf tout frais. Je vais me pencher dessus, surtout que j'avais déjà un bon souvenir de "The Party"... en fait de souvenir, un doute me turludourss.

Tentons: "Catch Your Eye"


ou "Telephone"


je sentais bien que mon "chauffe Andy" serait difficile à placer ... 

Des arrangements, des mélodies et cette voix plus indécise que mélancolique. Un ensemble de douceur, de plénitude qui me faisait oublier ma motivation première.

Et soudain ce qui m'a paru une évidence: je voulais aussi présenter un artiste ET chroniqueur de musique que j'apprécie particulièrement: Louis Philippe alias Philippe Auclair.

Pour les détenteur du dico pop rock d'Assayas je conseille sa chronique sur Roy Orbison , un lyrisme enthousiaste jusqu'au délire quand il s'agit d'évoquer le titre "It's Over"

Et si je ne connais pas encore toute son oeuvre, ce qui est mon intention avant d'atteindre 87 ans, j'ai au moins dévoré "I Knew It All Along"


J'ai souhaité me fondre dans ces notes le temps de ce titre "I Picked A Flower In Ispahan"


Je retrouve une douceur onirique portée par des vocaux si fragiles. L'âpreté du rock n'y a pas sa place et pourtant c'est le bleu qui l'emporte sur le rose naïf;

Tentons cette expérience

sur "Paradise Cinema"


je sens mon corps vibrer, je ne bouge pas et j'enchaîne sur "A Wiser Fool" ....


.... force est de constater que je ne lévite pas. 

Et pourtant.

Je vous droppe les albums et vous me direz si vous faîtes mieux que moi. 
Quand au jeu de mot, je dois le respect à monsieur Azzola et j'y renonce;

A bientôt

dimanche 5 février 2023

Ring a Ring a Ring... j'y suis presque (En fin de papier une bonne blague avec Wagner)


Il y a pratiquement trois années que cette question se posait

(voir ici, quoique pas la peine je vais recopier le texte )

L'Anneau du Nibelung (en allemand c'est kif kif)  comment l'aborder. Quinze heures de musique et pas fréquemment sous la forme de couplets refrains. Certes des leitmotivs à pister, certes quelques morceaux très connus ... La question reste (restait) posée.

Un conseil du frangin

Tu n'es pas obligé de découvrir toute la tétralogie d'un coup
Patrick Lusinchi quelque moment en 2019
Conseil que j'ai suivi pendant trois ans, mais c'était surtout pour préparer une cérémonie que je décidais d'associer à un lieu: NOTRE maison, quand elle sera complètement à nous, à ma douce et moi qui suis doux aussi parfois.
Notre maison avec une installation musicale adéquate, d'où la photo des enceintes que je pense acquérir, et un ampli etc..
C'est une question maintenant de jours pour suivre la cérémonie suivante:

Et si vous tentiez une expérience ? Elle est exigeante et difficile à réaliser sur la plan pratique, mais mérite d’être tentée car l’immersion totale vaut mieux que le saupoudrage. Un samedi, un dimanche ou en semaine si vous avez un autre rythme de vie, débrouillez-vous pour n’avoir aucune obligation sociale ou domestique, voire pour faire garder les enfants.
Prenez une intégrale discographique du RING. Pour une première approche il est préférable qu’elle soit bien enregistrée : Solti et son grand récit d’aventures a l’avantage d’être formidablement vivant, Karajan, lui, facilite l’approche grâce à sa lisibilité absolument transparente. Si vous commencez l’écoute de L’Or Du Rhin à 7 heures du matin et vous ménagez deux grandes pauses pour déjeuner dîner et une petite pour goûter, vous aurez terminé l’écoute de l’anneau à minuit et demi. Épuisés, peut-être, mais conscients comme rarement de l’extraordinaire tissu de rappels et d’anticipations qui fait de ce récit une véritable « magie des enchaînements », comme disait Thomas Mann. Vous suivrez les retours périodiques et les métamorphoses parfois à peine perceptibles des thèmes musicaux, non pas comme un jeu de pistes pour érudits, mais comme ces chocs allusifs qui éveillent la mémoire involontaire….

Dans "Vue D'Ensemble" par Christian Merlin, Avant Scène Opéra N° 227 


Tandis que je vous écris j'écoute quelques extraits du premier volet.
J'ai opté pour la version de Karajan.
Je reste fidèle presque inconsciemment; mon premier opéra il le dirigeait


Le titre qui continue à chercher mes larmes? Encore lui

A 2:56 du début une émotion sans cesse renouvelée


Alors Karajan.

Je retrouve quelques cailloux.
Du prologue, une perle, de la dentelle...



Les Walkyries, se souvenir lyrisme et pas seulement instrumentaux...



Siegfried et l'appel du cor...


Il me reste tout de même un papier pour boucler, surtout que c'est le volet qui m'aura pris le plus de temps, tellement j'étais intimidé à l'approche des funérailles...



J'y suis presque... 

En attendant, comme promis dans le titre du papier

Die Geschichte des Narren, halte dich am Pinsel fest ich entferne die Leiter

Richard Wagner 1872 Venise

Sacré Richard


A bientôt