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samedi 28 décembre 2019

Pavarotti de Ron Howard. Un prétexte aux souvenirs et à retrouver quelques larmes


J'avais extrait des séquences qui m'avaient touché, mais les droits d'auteurs ont été rapides, même pas le temps de diffuser.
Pas de souci.
Pas de souci dans le sens que donne Blanche Gardin, Pas de souci = vous faites ch***r

Coup de bol, les séquences que Ron a exploitées pour son documentaire sont sur Youtube.
Parfois en mieux, les titres ne sont pas entrecoupés de commentaires, sauf que je vais remplacer les quelques utiles par un écrit.

Un moment sympa, les trois ténors finissent un tour de chant et Placido Domingo explique que "Nessun Dorma" était réservé à Luciano (tous les prénoms sont beaux en Italien) mais finalement ils s'entendent à le partager au dernier moment.
Ça se voit, j'y crois, c'est spontané, c'est Noël
(Pas gâcher le tout mais je rappelle qu'à cet époque Pavarotti c'est l'arbre qui cache le désert, faut dire que... non, rien ...  C'est en Espagne que l'on trouve Placido, José et aussi un absent, un de mes chouchou Alfredo Kraus)


"Miss Sarajevo"
Encore un épisode qui m'a touché, c'est très fugitif, j'adore ce titre, j'adore la voix de Bono, j'adore l'intervention de Pavarotti sur son final mais justement, au moment où il attaque son final, il faut regarder Bono qui a une attitude, comme si il voulait joindre ce geste que l'on souhaite tous faire quand un ténor pousse son chant, et puis il y a comme un "Putain, la voix...!!!!"

Dexter Gordon & John Coltrane: Dexter Calling... & Blue Train Pas par hasard et hasardeux


Ha mes bons vieux potes que sont ces musiques, ces musiciens.

Pour vous dire, quand j'écoute de la musique et que je dois m'éloigner pour faire quelque chose de fortement physique, impliquant et faisant jouer tous mes muscles, tel ranger la vaisselle, brosser les dents ou refaire le lit, je coupe la musique.
L'idée est de ne pas en perdre une miette.

Sauf à passer des oeuvres que je connais, sauf...

.. certains jazz. C'est tout le contraire, j'adore saxo, trompette, piano ou trombone (la liste vraie est plus longue) ils m'accompagnent tout le long et remplissent l'espace, les pièces, mes gestes.
En moins énergiques, je fais le Jerry Lewis qui imite, les gestes quotidiens deviennent ici swing, là bop.
Fini le morceau de salade, lit au carré et cuisine bien nette!!

Hein? Oui, pardon.

Au départ et pour m'attarder sur Dexter je pensais à un album dont la pochette se distinguait de l’esthétique habituel du genre:


J'avais préparé tout un laïus un peu moqueur, mais à l'écoute de...

samedi 21 décembre 2019

La Neo Nouvelle New Wave est là: Turquie, Allemagne, Russie, Angleterre et j'en oublie exprès


Pour commencer, affichage de quelques une de mes préoccupations... pas toutes, hein, je me méfie de la censure.

J'en connais, je le vois d'ailleurs, qui pense trop de bien de cette collection... Le mot et le reste (Le Harrison est là parce que ça servait mon introduction, c'est tout)

LE MOT ET LE RESTE

Celui là de bouquin consacré à la NEW WAVE... si je l'avais pas ouvert j'aurai pas entendu


Ni ceci


Je me dis: est ce que cela m'aurait manqué?
Pour éviter le vertige de répondre et aussi pour faire court même si cette phrase est le contre-exemple du raccourci.

dimanche 15 décembre 2019

Les The WHO!! Mon hapax Existentiel à moi... L'occasion une fois de placer ce mot sur mon blog


Elvis Costello est le seul artiste dont je me qualifie volontiers de FAN, je réserve d'autres qualificatifs prestigieux à d'autres artistes, mais FAN je le fus une seule fois.

Cependant ma première émotion musicale qui devait être un tournant dans ma vie c'est avec les THE WHO (présentation d'un journaliste français à une époque où l'anglais n'était pas courant et ou le prénom Peter faisait davantage rire que maintenant)

Je me souviens, avec aujourd'hui la difficulté de séparer le réel de la fabulation, mais pas grave, donc je me souviens: années 72 ou 73, une année où nous avions au collège initiation au latin.

J'étais en Normandie, Vernonnet.
En bas d'un terrain de famille, Il y avait la maison de "mamie" c'est là que je dormais et que je ... hum ... révisais mon latin.

Plus haut perché, dans la maison de ma tante, mon cousin et ses copains profitaient de l'absence des parents pour écouter de la musique.

Avant de commencer ma révision je m'étais octroyé une pause et je montais voir les vieux jeunes la haut.

Dans le salon Platine disque branchée sur des amplis de guitares il me semble ou bien des enceintes monstres qui dégageaient un volume ... qui obligeait l'ouverture de la porte fenêtre car les vitres de l'époque ne pouvaient résister à ceci ...


Le vent, le riff... Keith Moon... A fond la caisse. Ça vibre
Ma Madeleine de Proust (je vous ai dit pour Peter quand l'anglais n'était pas... ha oui, plus haut)

jeudi 12 décembre 2019

Rossini. L'Italienne à Alger. La suite


Pour les abonnés à ma drop box un fichier texte "Rossini - L'Italiana In Algeri.txt" qui contient les liens Zippy pour charger la video MKV, un Blueray qui même réduit fait ses 6 giga.

Par mon peu d'expérience je partageais l'avis de ceux qui étaient contre la transposition des histoires vers d'autres époques et d'autres contextes.
Boris Godunov en Costume Cravate j'avais du mal à cacher ma déception.

Mais j'ai vu d'autres mises en scène qui nuancent mon avis.

"L'Italienne..." en fait parti. J'ai mis sur Youtube l'ouverture - qui tiendra peut-être peu? - qui m'a de suite bluffé. Et tout le reste est dans cet esprit.

(Comme c'est "mon" upload sur Youtube je ne sais pas si vous pourrez en profiter, l'affichage est différent des autres)



dimanche 8 décembre 2019

La vita è bella: Gioacchino Rossini, Fabrizio De Andre, Lucio Battisti & Premiata Forneria Marconi


En plein visionnage de "L'italienne à Alger" de Rossini (Au passage, avec retard, je découvre les séances de Cinéma/Opéra... ça jette!!)
Ça m'a semblé une évidence pour mon prochain article.

Je vais faire un petit tour en Italie.

Mais d'abord Monsieur Rossini.
Sa vie est dans sa musique. L'anti Mozart, l'anti Wagner, l'anti tous les autres en fait.
Il a commencé jeune, il a arrêté jeune, il est mort vieux, riche et célèbre. Et il n'a pas (jamais?) été oublié!!
Quelques clichés: Les femmes, les vins, pas que le tournedos j'ai perdu un article qui donnait une recette de Risotto aux truffes.
Les clichés c'est comme les légendes, c'est comme la fumée..

Je disais "dans sa musique".
Avant d'attaquer "L'Italienne":
Rien que ce titre: si ça vous donne pas envie de la/le prendre dans vos bras, de le/la faire tournoyer, tout en dégustant un verre de Barolo et impatient/e car vous savez qu'ensuite vous attend ... un risotto aux fraises..


Allez, en piste...