Grayson Capps Ça pourrait commencer comme un conte de fée;
Coince suppositoire à table (Même en phonétique je suis loin du compte, heu du conte je veux dire), des articles de Laspyke.
Laspyke, c'est le roi de la de la formule ramassée. Moi en plus court et plus efficace: C'est pas que je l'ai attendu pour l'avoir sur mon disque dur, mais c'est lui qui m'a donné envie.
Conclusion, qui c'est qui a raison?
Il a dit, à propos de certains de ses albums
"Un auteur assez méconnu, pourtant, ce nouvel album, plutôt varié et aux influences multiples, est un parfait exemple de ce qu'on peut trouver de meilleur dans le rock US. " (à propos de "Scarlett Roses")
"Un excellent second album, toujours à dominante country-blues."
"Le meilleur album de Grayson Capps, à mon humble avis. Particulièrement recommandé." (à propos de "The Lost Cause Minstrels")
"Après le passage de l'ouragan Katrina, Grayson Capps a déménagé et beaucoup tourné avec son groupe "The Stumpknockers" qui a droit de cité sur l'album qui paraît en 2008, toujours aussi éclectique musicalement. "
"Cet album est un enregistrement datant de 2002, volontairement dépouillé (guitare, violon, harmonica), mais excellent. "
"Retour sur la discographie de Grayson Capps, un auteur qui a commencé une carrière solo assez tardivement après avoir joué au sein de divers groupes dans les clubs de la Nouvelle Orléans.
Un premier album, plutôt varié et dominé par les influences bluesy, mais pas seulement."Au départ je voulais chroniquer "The Lost Cause Minstrels", surtout pour la couleur New-Orleans ajoutée sur certains titres et d'autres titres hérités des crises à la Neil-Young.
Le dernier? "Scarlett Roses", j'y pensais aussi. Pas certains, alors j'écoutais les deux en alternance. Il n'y que sur les PC qu'il est facile de coincer les titre 1 ensemble puis les 2 etc...
La théorie des écoutes répétées. Donner plusieurs chances à des titres. Parfois, même souvent, je repère les potentiels.
Mais ici, j'ai été surpris d'être attrapé.
001. Grayson Capps - Scarlett Roses - Scarlett Roses
C'est au moment du "If I don't Go Crazy..." pas le premier, mais le deuxième passage, il a ajouté (on dit que c'est lui, hein?) des choeurs très très légers, limites indistincts.
mais c'est juste ce qui serre le bas du ventre.
Je retrouve en encore plus léger la douleur résignée d'un Gene Clark dans son "Some Misunderstanding"