Un peu poussé par Charlu et Ranx (Marillion, FISH merci au passage) je vérifiais si il y avait une chronique du dernier Costello sur mon Blog.
Rien, nada.
Certes le fait que je sois le seul à pouvoir y écrire est une explication, mais est-elle suffisante? La réponse est OUI.
Alors, il est content le Antoine du dernier Costello? Il a trouvé de quoi du bonheur?
Mais oui, mais oui.
Quoi par exemple.
Par exemple ce son pourrave de l'orgue tout droit sorti de "96 tears" vous vous souvenez?
Bon, chez Lelvis c'est abusé comme j'aime. Rétro pas trop. Avec ce goût du reviens y. Je pense à reviendre de "This Years Model"
Et j'ai lu quelque part que côté rythmique, surtout batterie, ça manquait de finesse. C'est vrai que Lelvis devait avoir une envie de retrouver un peu de sa gnaque (niak? niaque?) de sa jeunesse lointaine, perdue mais retrouvable? C'est possible?
Possible je ne sais pas, mais comme je vieillis avec lui, il ne le sait pas, je ne veux pas l'encombrer, j'adhère à la démarche sans recul, sans moquerie ni lucidité.
En d'autres termes j'approuve.
Mais après, le mélodiste? Celui qui me fait fondre? Au rendez-vous?
Oui, toujours dans ces chansons un peu géométrique un éclair, un gimmick qui ensuite éclaire tout le reste du titre, en voilà une que je suis content de l'avoir rencontrée en chemin:
Ou cet autre là, un autre petit rien, un rajout, un éclair vocal pour fondre, bon c'est un admirateur qui commente
Bon c'est pas tout ça mais si ma douce passe dans le coin et qu'il me vient l'envie de la prendre dans mes bras? Hein?
Un Sinatra? Mais ma dame est très sensible à ne pas dépasser les dates de péremption.
Alors?
Madame voulez vous danser? Oui? (Elvis à toi!!)
Et pour finir ce tour incomplet, la chanson souvent citée par les chroniqueurs éclairés, éclairés pour avoir écouté le Costello, un autre slow pour ne pas perdre la magie du moment
Moralité comme conclusion. Lelvis charme encore, Levis remue encore. Lelvis n'en a pas fini