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mercredi 27 janvier 2021

Et des souhaits et mon palmarès 2020... en fait

 


Juste à temps, ouf, ouf....

Pour souhaiter aux lecteurs que tu es (ou vous si on ne se connait pas assez pour se tutoyer) une meilleure année que 2020, sauf si 2020 a été tout de même une bonne année, alors je dis: bonne année.

Sous prétexte de ces voeux, sincères mais prétextant, j'en profite pour mon Palmarès 2020. 

Soyons efficace. Un disque, un seul.

Pas assez présent dans les palmarès, alors je tente ce coup de force.

Pour commencer, un article enthousiaste, je ne dis pas où ça va être contreproductif (la preuve, absent de beaucoup de classement)

Ensuite ce titre


Suffisant pour me séduire. Une rêverie comme je les aime. Pas dansant, pas époustouflant, juste épousant une humeur, mieux pouvant la construire l'humeur.

Flottement, songe, mélancolie, sens double.

Et je l'achète. 

Un critère déterminant?

En français pour plaire à ma douce qui tient à comprendre les textes... 

D'écoute en écoute et je tombe sous le charme.

Les titres un à un s'imposent jusqu'à entrer dans mon rare panthéon des disques à Quatre étoiles ****.

Remarque: **** et les chansons sont sélectionnées pour mes tours en vélocipède.

Un disque hors de son temps, en d'autres de temps, je l'aurai placé pas très loin d'un King Crimson des débuts, en espérant que les charmes s'échangent.


Voilà donc quelques douceurs pour passer, s'oublier, se laisser aller pour laisser remonter des pensées à imprimer des sourires souvenirs.


L'envi de passer toutes les chansons. Pour qu'au moins une vous (te?) touche particulièrement.

Bon celle ci et puis bizousse à toutes et tous.

Au fait le titre: Ludéal - L'aurore

mercredi 20 janvier 2021

La musique Pop années 60. Des 4 B vers les 5 B. B comme Bye Bye Spector?


Je préparai laborieusement une tite chronique pour démarrer 2021.

La mort de Phil Spector me pousse à revenir sur cette histoire des 4 B.

Une présentation des années pop 60 d'un ami qui affirmait que ses fondations se résument aux 4 B:

Beatles

Beach Boys

Byrds

Burt Bacharach

En apprenant la mort de Phil Spector, qui mérite à lui seul un roman, une saga, un mélange de légende, de musique,  et de crapotage en guise d'épices, je pensais ajouter un 5eme B

Brill Building

En allant voir la liste des compositeurs attachés à ce bâtiment abritant ce qui se faisait de mieux en guide de pop ... (blanche?) l'évidence me sautait aux yeux.

Les détails dans Wikipédia. Ici juste la liste:



Ensuite le jeu peut consister à se demander ce que Hugo Peretti a écrit comme chanson inoubliable.

Pour l'instant, le temps qui m'est imparti étant en partie parti je vais me contenter d'un souvenir:  c'est dans les années 80 que j'ai découvert 



Achat de deux gros coffrets Vinyles: Spector et Frank


Voilà, adieu le "No Future", les postures rebelle à l'oeil noir, les bières Trapistes ou les alcools durs,  je devais faire un virage à 180 degrés pour me plonger dans cette variété Américaine (sans oublier Sinatra sans C!) des années 60, forcément enchaîner sur les années précédentes et les suivantes ... un verre de Bourgogne à la main. La classe quoi!

La POP avec ces titres sucrés, pour cacher des troubles indicibles, empreintes particulières de la culture U.S.

Quoi? Comment une phrase creuse pour s'écouter écrire? Point du tout, je tente d'exprimer, avec lyrisme et difficulté, ce qu'un David Lynch a su démontrer dans l'exploitation de titres tel BLUE VELVET. Onctueusement vénéneux.

Tiens, par exemple, Spector, prémonitoire


Davantage subversif, subtil....



Bon je vous laisse, j'ai un post qui s'enlise à sauver


PS: Bonne année et surtout ha ha .... pas des pieds!! (oui, bon, ça va)