Cherchez pas le sens exact, genre de phrase qui me sonne
bien, souvent lourde rarement de sens, un peu comme « l’alcool c’est ton
ami ? Alors le Paracétamol »
J’aimais bien la phonétique m’écoute tout.
Tout ça pour le clin d’œil vers les amis blogueurs qui
continuent à m’initier des écoutes. Chacun à sa façon, l’enthousiasme en
commun, le texte à nul autre égal par ailleurs (on dit pas comme ça ?)
Commençons par mon inattendu. Le RANX plonge ou replonge dans
ces musiques, rien que l’intitulé des genres fout les jetons, Dark, Black, Metal, Gothique, Satanique (j’en rajoute volontairement) Indus, Iellurique, Angoisstique et pour effacer tout
sourire naissant on ajoute « norvégien » et là on fait pas le malin
Le dernier plongeon est ici
https://ranxzevox.blogspot.com/2025/01/souffre-de-vie.html
Mais il y en eu d’autres
https://ranxzevox.blogspot.com/2019/05/fantomes-dans-la-brume.html
et surtout
https://ranxzevox.blogspot.com/2019/03/lords-of-chaos.html
Qui continue à me hanter, j’exagère à peine, en T comme
terreur. Soudain on quitte la musique – un peu – pour s’attarder sur ce qui l’anime.
Sur le passage à d’autres actes. Ce besoin de croyance, ce besoin de noirceur
qui peut pour certain n’être qu’une posture artistique, dérangeante et pour
d’autres ? Dérangés ! Je tombe dans la facilité mais cé T comme
tentant.
Donc dernière lecture captivante sans penser que j’irai plus
loin en écoute, ou bien je ferai semblant, moi aussi pour me donner un genre Norvégien
ensoleillé du sud de la France. Mais j’ai oublié l’habileté de RANX à
convaincre l’Et puis il y eu
"By the Shadows"
ou
"Exit Existence"
Je ne résiste pas, je ne fais pas semblant du coup, à ces titres en forme de chute dans le vide. Ou pour ouvrir la page clichée une descente à une vitesse folle en luge sur une pente à l’inclinaison effrayante tandis que le paysage enneigé se perd dans un blanc éblouissant. Et le DARK là dedans?
VOILÀ à
Ajouter la nuit tombante et vous profitez du silence qui clôt le morceau pour
respirer.
D’autres écoutes pour s’attarder sur une musique aux contours
plus sophistiqués qu’il ne parait. Il me reste à découvrir Dødsmaghird et Dødheimsgard mais ça ce sera
quand le clavier me permettra de barrer les ø
Maintenant mon Charlu qui attire mon attention sur Madame
Deal, et c’est du bon.
Pour commencer plongeon dans les souvenirs. Je découvre les PIXIES avec l’album BOSSANOVA, je renoue avec l’achat de disques, mais compact, avec moins de gourmandise je m’intéresse à ce qui se joue au début des années 90. Sans m’en rendre compte c’est le retour de la formation « classique » batterie, basse et guitare qui me relance. Exemple des Black Crowes entre autre surprise sans surprise.
"GIGANTIC"
Je retrouverai ma face ogre musicale à la fréquentation des
médiathèques parisiennes et la possibilité de gravouille en MP3.
Pas encore bien déconstruit, je pensais que l’âme des PIXIES n’était que Francis/Franck
le Black. J’ai donc suivi sa carrière solo. Plaisante avec un goût de manque
que je n’identifiais pas.
Vint the BREEDERS
"Cannonball"
"Doe"
Comme une révélation. Tardive en ce qui me concerne, Kim
Deal apportait beaucoup aux PIXIES. Peu de titres co écrits avec Black ? Maintenant
j’ai du mal à y croire, j’imagine des interventions pertinentes sans obtenir un
partage de signature.
Et aujourd’hui, partout le premier album solo de Kim Deal
est encensé. Mais il me fallait l’amu Charlu pour que je pousse l’écoute. Déjà
pour contredire ma douce qui aime me taquiner sur les dates des musiques que
j’écoute. Et aussi pour comprendre ce qui a mis Charlu dans cet état
https://leschroniquesdecharlu.blogspot.com/2025/01/kim-deal-2024.html
A lire, le monsieur qui écoute à la lumière d’un feu de
bois, j’ai essayé sans et cela fonctionne tout de même. Chaque titre est une
perle. Et pour les enfiler ? Ce vocal hésitant, rarement trafiqué et
encore c’est pour la bonne cause. Forcément parmi ces perles aux formes
individualisées – la tête du collier 😉 – il y a ses préférences et le reste pour de
prochaines écoutes. Vous dire la richesse.
« Disobedience » et sa basse à la Who
« Nobody Loves You More » cette façon de chanter « I Don’t care… » me fait penser à …. Zut
… et après surchauffe de mes synapses ….
Blondie « Sunday Girl »
Évident ? Pas évident ? En tout cas moi content.
Pour conclure, un album à promesses tenues
Enfin l’occasion d’un grand moment de recueillement
Comme chercher un point d’eau pour étancher, je reviens
souvent chez PG (Pascal Georges pour les paresseux de l’écriture) trouver
quelques conseils éclairés d’un passionné, un autre, passionné de musique avec une faculté de transmission.
De nombreux univers s’y côtoient, alors obligé de faire son
choix, et moi ici ce fut LE DUKE
https://lifesensationsinmusicii.blogspot.com/2025/01/big-band-grand-orchestre-collectif.html
« Part Iv [aka Come Sunday] »
Rien que ce titre, je lève mes yeux au ciel et « Est-ce
un avion ? Est-ce un oiseau ? Est-ce
Superman ? Non, mille fois non, c’est le Duke »
A sa façon, si modeste, le DUKE survole les tiquettes, un
carrefour céleste, si Gershwin a entendu du Jazz, le DUKE a entendu Gershwin
Ma toute première écoute, et là aussi j’ai dû fouiller dans
mes mémoires, c’est 1982 ce n'est qu'un début mais c’est imprimé…
Cette idée d’intro, comme le Ennio pour Metallica, est comme
le premier étage d’une fusée ici pour lancer UNDER MY THUMB qui grâce à Duke
rejoint le frisson des titres comme JUMPIN SATISFACTION.
Voilà pour le souvenir. Revenons zaïci.
Si vous avez senti des picotements aux jambes, une forte
envie de vous lever pour UN AMERICAIN A PARIS ou SINGIN IN THE RAIN alors
imaginez la chorégraphie de ce qui suit
« black brown & beige part 1 »
Certains y ont pensé avant, voici de quoi se frustrer
Quoi de plus vivant, enthousiasmant. L’envie de lire, de voir des films, de penser danser… de sortir et regarder les gens vivre en les imaginant en musique. Pour un mois de Janvier, ça chauffe l'envie de vie (On dirait du Lelouch)
Pour paraphraser le BIG LEBOWSKI
- - Change rien, Duc. Continue de nous la couler
douce.
- - T'inquiètes, le Duc tient bon.
Voilà l’hommage appuyé à ceux qui me remue les écoutes,
histoire de dire merci et pareil « Tenez bon »
La bizéBonneAnnée2025
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