Cela commence avec ma douce, experte en chansons françaises,
de préférence contemporaines (très) et penchant chanteuses.
Quelques mélodies volées à du streaming pour m’avouer fondre
aux chants, timbres, vocalises même de Yseult, Pomme et Zaho de Garavan (clin d’œil
aux habitants de Menton)
- - C’est nuuuul !!
- - Bon, pardon Zaho De Sagazan
Je me disais, un papier ! Groupons les dames qui m’ont subtilement
ému.
Je commence par Pomme. Esprit vagabond, j’écoute en
imaginant un groupe qui réunirai des membres de sa famille, Pomme au chant,
Pomme à la batterie, Pomme à la basse et Pomme à la guitare électrique. Et le
nom du groupe ? Non non ! « Les Ludwig » .. pas le temps de
sourire de ma bêtise car
On Brûlera
Il avait déjà son **** mais je n’avais pas creusé davantage.
Je me laisse happer par cet album, je décide qu’il n’y sera question que de Pomme.
Pomme Aime, Poème.
J’ai quitté le post de Charlu consacré à Joan Wasser en
évoquant le charme de sa voix et voici que Pomme m’assomme me somme de jolis
moments de bonheur tristes parfois.
Moi qui reprochais à beaucoup de chansons d’être nombrilistes,
je découvre chez cette dame des vignettes de vie profondément sensibles, Claude
Sautet en musique, chacune de ces chansons aux mélodies imparables trouvent
une place dans un épisode de ma vie, réel ou imaginaire.
La Gare
Pauline
Adieu Mon Homme
Alors dans un excès de gourmandise je me jette sur le
dernier album SAISONS. Je décide de n’écouter qu’une seule chanson par mois.
Une décision que je tiendrai trente secondes.
On garde tout ce que l’on aime de Pomme, mais on n’imaginait
pas atteindre la dimension d’un William Sheller ambitieux.
J’ai envie de bombarder l’album de ****. J’ai dit Sheller ?
J’ajoute et j’ose entendre une musique de rêve tel Ravel et son « Daphnis
Et Chloé ».
Rien que ça ? Les trois titres sur le Printemps :
Commence intime quelques notes de guitare folk, et des gouttes de chœur féminin,
cette voix un moment nue invite l’orchestre - enfin Le printemps de Mars - pour proposer
une rêverie couleur vert printemps (of course) inondée d’un soleil qui ne brule pas, tandis
que couché sur l’herbe je regarde la colline qui me fait face et ces arbres fraîchement, fièrement feuillus.
Mars Avril Mai Le Temps des Fleurs
Je la ramène aussi (...).
RépondreSupprimerPourtant au début, je lui trouvais une collection de trop :
sans surprises, identifiable, aigüe, simple, intimiste, vibrante, linéaire, répétitive, française, naïve, ...
Puis finalement surtout trop bien, une douceur pleine de glue.
Après je reste , moi, à doses raisonnables.