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vendredi 11 juillet 2025

Pomme : A Peu Près et Saisons

 


Cela commence avec ma douce, experte en chansons françaises, de préférence contemporaines (très) et penchant chanteuses.

Quelques mélodies volées à du streaming pour m’avouer fondre aux chants, timbres, vocalises même de Yseult, Pomme et Zaho de Garavan (clin d’œil aux habitants de Menton)

-          -  C’est nuuuul !!

-          -  Bon, pardon Zaho De Sagazan

Je me disais, un papier ! Groupons les dames qui m’ont subtilement ému.

Je commence par Pomme. Esprit vagabond, j’écoute en imaginant un groupe qui réunirai des membres de sa famille, Pomme au chant, Pomme à la batterie, Pomme à la basse et Pomme à la guitare électrique. Et le nom du groupe ? Non non ! « Les Ludwig » .. pas le temps de sourire de ma bêtise car

On Brûlera


Il avait déjà son **** mais je n’avais pas creusé davantage. Je me laisse happer par cet album, je décide qu’il n’y sera question que de Pomme. Pomme Aime, Poème.

J’ai quitté le post de Charlu consacré à Joan Wasser en évoquant le charme de sa voix et voici que Pomme m’assomme me somme de jolis moments de bonheur tristes parfois.

Moi qui reprochais à beaucoup de chansons d’être nombrilistes, je découvre chez cette dame des vignettes de vie profondément sensibles, Claude Sautet en musique, chacune de ces chansons aux mélodies imparables trouvent une place dans un épisode de ma vie, réel ou imaginaire.

La Gare


Pauline


Adieu Mon Homme


Alors dans un excès de gourmandise je me jette sur le dernier album SAISONS. Je décide de n’écouter qu’une seule chanson par mois.

Une décision que je tiendrai trente secondes.

On garde tout ce que l’on aime de Pomme, mais on n’imaginait pas atteindre la dimension d’un William Sheller ambitieux.

J’ai envie de bombarder l’album de ****. J’ai dit Sheller ? J’ajoute et j’ose entendre une musique de rêve tel Ravel et son « Daphnis Et Chloé ».

Rien que ça ? Les trois titres sur le Printemps : Commence intime quelques notes de guitare folk, et des gouttes de chœur féminin, cette voix un moment nue invite l’orchestre - enfin Le printemps de Mars - pour proposer une rêverie couleur vert printemps (of course) inondée d’un soleil qui ne brule pas, tandis que couché sur l’herbe je regarde la colline qui me fait face et ces arbres fraîchement, fièrement  feuillus.

Mars Avril Mai Le Temps des Fleurs







1 commentaire:

  1. Je la ramène aussi (...).
    Pourtant au début, je lui trouvais une collection de trop :
    sans surprises, identifiable, aigüe, simple, intimiste, vibrante, linéaire, répétitive, française, naïve, ...
    Puis finalement surtout trop bien, une douceur pleine de glue.
    Après je reste , moi, à doses raisonnables.

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