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dimanche 19 mai 2019

Hein? Quoi? Non, rien. Jepsen, Jungstötter, Fat White Family et Hall & Oates


C'est que après "mon" Wagner (à moi) j'ai un peu véhiculé par ci par là...
Kidjo chez Jimmy, Jay-Jay chez Charlu, un chouette bilan chez les copains Pop Alex et Etienne.

Mais aussi ...



Je commence par Madame Manzoni qui fait écouter:



Par manque d'imagination je comparais la première écoute à ma découverte des "Frankie Goes To Hollywood".
Bon, plus facile d'insister sur ce qui les différencie. Mais cette production studio?

Quand on dit studio, on pense à des groupes comme Toto, mais ici c'est différent.

Je retrouve la faconde de Trevor Horn.
Je ne sais pas trop.
C'est épais, c'est très appuyé, rien au hasard. La leçon du Son Disco sur un autre Beat, moins dansant? Pour la marche. En cadence?

Je ne sais pas.



01. Fat White Family - Serfs Up! - Tastes Good With The Money





Bon, quoi d'autre







Cette fois ci c'est une découverte que je dois au MAGIC du mois
Comme quoi.

Idem que pour "Get Well Soon" La pop traverse la manche, le chemin inverse pour atteindre l'Allemagne (Inverse de quoi? À votre avis?)

Un chanteur qui évoque Bryan Ferry et Scott Walker. Même maniérisme et pour moi même frisson.

01. Jungstötter - Love Is - To Be Someone Else


Et puis celle qui m'a poussé à penser Hall...



Cette fois ci, ALL MUSIC.COM qui affiche plein d'étoiles pour un album dont la pochette ... Bien, c'est celle que j'ai décidé de mettre en accroche. Comme ça, sans arrière pensée.

Ensuite j'écoute et... Il y a comme un son. Un truc qui évoque les années 80?

Et j'aime la tiquette choisie par AMG "Teen Pop".
Ha ha ... C'est que dans l'ensemble c'est plutôt sympa, vite fait. "Music For Pleasure"

01. Carly Rae Jepsen - Dedicated - Want You In My Room





Et enfin, là je trouvais mon envie de faire une rubrique sur mon blog, en écoutant m'est alors venue un souvenir...
Que je vous raconte

D'abord un Rock & Folk enthousiaste, une critique d'album qui pouvait passer inaperçu.
1984. Hiver. La claque


01. Dance On Your Knees & Out Of Touch



Et je me souviens bien de cet hiver là, nous partions voir le film Gremlins, et cette chanson et ce son de "Glockenspiel" me résonnait en tête.
C'est rare, mais je tenais ma chanson de Noël.

Ensuite c'est bien simple, je suis tombé sous le charme des Hall & Oates, sous le charme du genre et cette tiquette qui leur sied si bien "Blue Eyed Soul" (Comme à Robert Palmer...)





Cette façon de moduler la voix vers la fin des chansons, c'est ça la soul et pffffff (Pour la vidéo, hum... je pouvais m'abstenir?)

01. Daryl Hall & John Oates - Big Bam Boom - Going Thru The Motions




Oui je sais, c'est daté mais si nous devions retenir quelque chose des années 80, que je n'ai que survolée certes, c'est ce son clinquant, claquant.
Et? J'adoooore.

Hall and Oates, je vais un jour y revenir avec davantage d'effort. Cet album c'est le souvenir qui l'emporte, mais de la plus haute qualité est ailleurs.

En attendant, je me fais plaisir et c'est déjà bien.

Ça vaudrait le coup d'aller chercher dans nos mémoires des films comme "Traquée" avec Berenger. Hôtel de luxe, marbre, call Girl, coke, costard ... côte ouest plutôt que la crasse des hivers NY.
La série "Miami Vice", les singles de Phil Collins.
Tout ça avec son parfum un peu écœurant mais entêtant.

Plus tard

01. Daryl Hall & John Oates - Big Bam Boom - All American Girl





9 commentaires:

  1. Hall & Oates, c'était très bon, je ressors encore l'album Voices de temps à autre. Sur Facebook connecte toi à Live from Daryl's house, c'est Hall qui reçoit des potes musiciens et tape de méchants bœufs avec eux (l'épisode avec Billy Gibbons est monstrueux, je crois l'avoir partagé)

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    1. "Voices" a creuser donc, je ne connais que "Kiss On My List" Reste que je connais très mal le début de leur carrière, encensé par AMG "Abandonned..." "Darryl .." Comme pour Robert Palmer en achetant "Secrets" et en remontant sa disco, j'en était presque à renier ce qu'il a fait ensuite, tellement j'étais fasciné par ce côté Play Boy soul cool. à la Boz.

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    2. Leurs premiers albums période Abandoned luncheorette ne sont pas encore dans le registre Soul qu'ils développeront vers 77, c'est plus proche de Laurel Canyon, très acoustique avec des harmonies vocales évidemment superbes.
      Robert Palmer était déjà bon du temps de Vinegar Joe, sa discographie est un parcours qui se suit sans lassitude. En France, on l'a beaucoup écouté sans le savoir grâce à la pub cinéma pour Heineken ))) Ok, Johnny and Mary avait cartonné, mais ça ne vaut pas le clip d'Addicted to love.))) Et j'adore sa gestuelle, cette sorte d'élégante maladresse qui mit Bryan Ferry en péril.

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    3. Sur monsieur Palmer, je te donne raison sur sa discographie, que j'ai démarré par l'autre (presque) carton "Secrets" et le morceau de Moon Martin (que j'achète par rebond: "Escape...". Et voilà que je veux remonter la disco de Robert: "Double Fun" la claque, des arrangements encore absents de ma discothèque. Rien à jeter, précieux. "Pressure Drop" presque même qualité. J'étais attiré aussi par ce look classieux playboy qui semblait lui réussir ... hum ... sentimentalement. Heureusement pour moi que contrairement à Costello un temps, je n'ai pas cherché à m'identifier. Il s'agit d'habiter l'habit. Ensuite, j'avoue admirer son parcours éclectique sans faute de gout. Mais c'est quand même la période "Blue Eyed" que je vénère. Et pour un futur je me garde sous le coude "Some People" et "sneakin" que je fantasme à défaut d'avoir vraiment écouté.

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  2. Hall and Oates j'adore pas mal de singles. Sur la duree d'un album y'a souvent quelques trucs qui ont moins bien vieilli, marrant parce que d'autres sonnent encore bien modernes.
    J'arrive pas a accrocher au FWF encore pourtant Insecure Men et les précédents du groupe dans une moindre mesure m'avaient bien accroché...
    Pas mal l'allemand j'irai écouter l'album.
    CRJ je comprends enfin pourquoi la presse l'encense. Je trouve ça exagéré, j'aime pas sa voix et je trouve qu'il y a des tics commerciaux agaçants dans la prod mais y'a de belles idées en termes de mélodies, sons, arrangements dans le côté hyper accrocheur et un peu plastique de la pop

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    1. Bonne descente, merci. J'apprécie depuis toujours la démarche commerciale assumée. Et l'album de CRJ (j'adopte le raccourci) est réussi en la matière. À une époque d'opulence musicale c'est soit ça plait efficacement de suite (tu as entendu le dernier Rammstein?) soit l'effort a intérêt à être récompensé. Pour mon goût "Fat" assure la première partie. Hall & Oates font maintenant partie intégrante de mon histoire d'auditeur musical, comme Robert Palmer tien, évoqué plus haut. Reste le jeune allemand, juste une voix qui m'assure le plaisir des premières écoutes et va savoir si en + il y a pas une promesse sur la durée (comme Get Well Soon)

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    2. D'accord avec toi, dans le genre grosse pop écoute le morceau "Love On Top" de Beyoncé et dis-m'en des nouvelles (il commence a dater un peu). Je refuse tout snobisme, si c'est bon c'est bon
      Rammstein pas mal les singles, je suis pas connaisseur du groupe et j'ai pas écouté le reste de l'album, mais les morceaux passent bien

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  3. Dans les premiers albums de Robert Palmer si je me souviens bien il y a les zicos de Little Feat... Tuerie et entre autres la reprise de Spanish Moon...
    Double fun avec les frères Brecker, là c'est sur tu peux parler d'arrangement...
    Hall and Oates, enfin... On en parle.
    J'ai quasiment tous leurs albums et les premiers dont celui produit par Todd sont juste délectables...
    À +

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    1. Hello Pascal, ça va pas trop pris par les concerts?
      Ton commentaire tombe à pic pour planter une Banderille pour me mettre sérieusement à Little Feat que je connais mal sans oublier des albums de Robert que j'ai à peine écoutés "Some People Can Do What They Want" & "Sneakin' Sally Through The Alley"
      Une Banderille c'est bien mais suffisant?

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