Beaucoup de musique, car quand même désœuvrement, ma douce qui gaze pas trop (Jeu de mot honteux qui laisse des traces)
Alors ça se bouscule au portillon, j'haistais (au lieu de j'hésitais, ça coince du neurone, pas le clavier fautif) à faire papier sur Eilen Jewell et son Sea Of Tears, enchaînement intelligent après les Dixie.
Mais non, j'ai enfin pu décider faire un sur ...
Pas encore non, avant je voulais me faire un peu de Murat chez Charlu et même ce Robert Foster dont j'oublie toujours le R de foRster, alors pour le retrouver...
Bon, maintenant je peux faire mon papier sur ce qui m'a coûté du temps, pour une grosse révélation ...
Haaaarrrrrrrrrrrrggghhhh, mais non.... quoije!!! Kasstéje!!!!!
Le Little Steven!!!!
Juste une goutte alors:
01. Little Steven & The Disciples Of Soul - Summer Of Sorcery - Soul Power Twist
Il est quelle heure? 10h ... merde.
Merde, j'ai envie de m'ouvrir une bouteille de rosé, de rouge, de me boire des bières, d'attaquer un rhum... de monter un BBQ au bord de la plage, de faire cuire des merguez, une autre bière. De courir (dans le désordre, sinon après toute la boisson... ha ha ha) de plonger dans l'océan.
J'ai envie de retrouver ma douce, de la prendre dans mes bras. De sauter comme un fou, de danser désarticulé, de m'écrouler...
D'une grande tablée avec mes enfants, mes amis.. dehors dans le jardin, dedans dans une grande maison, La viande au feu de cheminée.
Tout ça, tout ça et même davantage... C'est pas Stevie qui me fera changer d'idée.
Qu'est ce que je raconte, c'est sa faute, non c'est grâce à lui...
Bon, et maintenant il est quelle heure... 10h12 merde encore.
01. Little Steven & The Disciples Of Soul - Summer Of Sorcery - Vortex
02. Little Steven & The Disciples Of Soul - Summer Of Sorcery - Superfly Terraplane
03. Little Steven & The Disciples Of Soul - Summer Of Sorcery - A World Of Our Own
04. Little Steven & The Disciples Of Soul - Summer Of Sorcery - Summer Of Sorcery
Et maintenant? 10h17.... Pfffffffff
Dans le petche le BBQ. La viande est dans le frigo, je répète, la barbak reste au frais. J'ai même vu de la neige fondue tomber lourdement sur les 3°C au compteur :(
RépondreSupprimerBon, ça ne privera pas de rouge malgré tout. Saint-Mont 2015 pour attiser la chaudière.. Ah oui, Little Steven ...,?? découverte :o Ttte façon j'ai le temps... ouaih parce que le vélo est accroché et la barbak au frais donc.
... tu le connais quand même peut-être? Guitariste de Springsteen, acteur dans les SOPRANO mais surtout dans LilyHammer , au passage merci à Ranx,
Supprimerhttps://ranxzevox.blogspot.com/2015/01/de-tout-de-rien-et-meme-du-reste.html
cette série j'en suis à ma 3eme vision avec maintenant madame, je sais que je me plains de manquer de temps pour tout regarder. Et alors? Il est qualifié pour plusieurs visions (comme Father Ted tiens!!)
Je l'ai espéré depuis Men without women ce comeback Soul de Little Steven. J'ai aimé Voice of America et aussi les albums Hip Hop World qui ont suivi, mais il n'a jamais été aussi bon que sur son premier album solo et avant ça lorsqu'il livrait clefs en main les albums de Southside Johnny.
RépondreSupprimerEt nous y voila, Steven fait enfin ce que j'attendais de lui. Les différentes nuances de Funk défilent, la vie est belle. Tout ça a évidemment un gout de sous vide, tout n'est pas du meilleur effet (les chœurs féminins sont à côté de la plaque), les chansons ont toutes un air de déjà-vu, ressemblent à des relectures (le concept de Soulfire n'est pas si loin). Les musiciens jouent propres, manque une guitare qui rape, un sax bien saturé (Clarence Clemons aurait fait merveille sur Love again), la production est un peu aseptisée, le mixage est tout plat, le numérique ne vaut rien pour capter le souffle imperfectible nécessaire à cette musique.
Bref, le temps a fait son œuvre et la nostalgie est de mise. Reste que des gars capables de maitriser ce niveau ne sont plus si nombreux, et ne l'ont d'ailleurs jamais été. Alors, va pour une dernière danse.
Ha ha la critique qui fait mal en pensant du bien. Peut-être la la scène et ses imperfections?
SupprimerJ'ai bien peur qu'ils jouent tous aussi impeccablement même sur scène, et que les chœurs soient aussi affreux (un vrai cauchemar, c'est qui ? Je veux des noms. Qu'il reprenne Patti Scialfa bordel)
SupprimerTu sais quoi ? Je crois que ce que j'aimais chez les Disciples of soul, les Asbury Jukes, c'est que ça soit des loubards du New Jersey dont personne ne voulait entendre parler, des frustrés qui défoulent leurs nerfs à vif en se rêvant derrière Sam Cooke au Harlem Square Club en 63.
Et là je me retrouve avec des notables qui étalent leur respectabilité. Le Rock'n'Roll Hall of Fame est une saloperie.
Alors, bilan du jour. J'insiste et ça vient partiellement, je le sentais c'est par Love again que je me suis adouci. A world of our own ensuite (il sonne carrément Costello dans le timbre par moment, bizarre), Communion enfin, Steven rock pied au plancher sans vouloir épater la galerie. Et Soul power twist, on est d'accord, c'est le single parfait.
RépondreSupprimerLes indécis, Vortex, trop surchargé, cuivres, violons, flute, chœurs, oooh faut trier dans les lentilles sinon c'est l'indigestion ! Summer of sorcery, j'ai pas encore trouvé l'utilité de la chose.
Reste des moments de solitude, Gravity, malheur, les chœurs Cocogirls plus que Coconuts encore et toujours insupportables. Le remake foireux de Education, bofbof, pourquoi ?
Deux gâchis, Superfly terraplane, 2mn50 auraient largement suffit. La remarque est valable pour Party mambo (décidément n'est pas Kid Creole qui veut).
Et les inutiles, I visit the blues, exercice de style en panne sur l'autoroute. Suddenly you, c'est quoi ? Du Keith Richards ? Pas suffisamment naturel pour convaincre et là encore maladresse des arrangements, la trompette c'est beau, trop de trompette c'est chiant.
Du coup, je ressors le Unplugged en duo avec Southside Johnny pour m'aérer l'esprit, ça fait du bien après tout ça, et je mets le doigt sur le problème en les écoutant chanter Rosalita, Summer of sorcery manque d'aération, de respiration, il y a trop de tout partout et aucun moment où le beat claque seul derrière la voix. Et si Little avait besoin d'un producteur ? Rick Rubin ? Tiens, je suis impatient d'entendre ce que ça va donner sur le prochain Santana.