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samedi 8 mai 2021

Vous me faîtes écouter quoi vous les autres? Herbie Hancock ... par bong bong ... Don Julian

 

Bong Bong... par rebond quoi. Je trouvais ça drôle. Je continue avant de changer d'avis.


Je décide quelques petits papiers pour clind'oeiller les découvertes que je vous dois. Sympa je suis.

Cela commence par là...

Cliquetons ensemble ici, enfin là, quoi

Ensuite un peu de lecture pour saisir le monsieur: Herbie Hancock. Je le retrouve tiquette FUNK, FUSION, ELECTRO POP.

Je le lis grand compositeur, innovateur, organiste... etc... (Lire Pascal, c'est quand même bien raconté)

Je découvre surtout - tel un David Bowie d'une autre confrérie musicale - cette écoute de l'air, des courants.. (des courants d'air?) 

La disco du monsieur est Pfff mais je m'était promis de suivre Pascal, au moins avec un album. 

Impeccable, je m'y retrouve de suite, même si je n'avais pas prévu l'effet sur moi.


De quel effet je parle...

Celui de me refaire un peu de Blax.... Surtout un que je me suis mis de côté, comme on se met SHAFT pour se la raconter, j'ai aussi celui là...

J'ai un pote quand il danse sur ce genre de truc, on jurerait qu'il y a un stroboscope en éclairage. Ha ben non, nous sommes en plein jour!


Je ne sais pas si j'aurai voulu être noir, mais comme j'aimerai porter beau fringue arrogance juste un instant (Le manteau de S Jackson dans le remake de SHAFT... sauve tout le reste du film)

Des flingues à la main?

Non, pas mon truc... des bananes peut-être.

Voilà, terminé.

Terminé?

Non, encore un truc, mais peut-être j'anticipe sur les autres épisodes de Pascal.

Dans ma bible FUNK, il est dit que M. Herbie, le jour où il a sorti ce disque, le monde du FUNK en a été bouleversé

L'entendre c'est le croire


Allez je prépare les cadeau sur Box&Drop

Et je réfléchis à la suite

6 commentaires:

  1. Décidément, tu enchaines les articles! Moi qui voulait rebondir sur celui sur le Funk avec un billet sur Herbie Hancock. Résultat, Pascal a tiré avant moi. Et toi, tu enfonces le clou!
    Don Julien, je ne connaissais pas. D'ailleurs, je n'ai jamais vu Shaft. Des fois, j'hésite, mais j'ai cru comprendre que ce n'était pas forcément un chef d'oeuvre. Disons que la musique surclasserait le film allègrement...

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    1. Ils sont nettement moins fouillés que les tiens, les vôtres devrais je dire.
      Pour le cinéma, le remake de "shaft" se laisse regarder et oublier, alors que son origine conserve un certain charme, à rapprocher de ma jeunesse plutôt baignée dans la série TV.
      Et les autres? J'en ai regardé/zappé d'autres avec une bonne dose d'indulgence.

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  2. Un pas de plus et voila le Hip Hop, vaste galaxie. C'est ce pas là qui me manque lorsque j'entends Herbie Hancock.

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    1. Je ne connais pas toutes ses orientations, mais tu penses à une période particulière où ce pas aurait pu être fait? Je sais que tu connais bien le truc, j'ai l'impression que le glissement musical qui amène le Hip-Hop n'est pas la soul, ni le funk?

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    2. Rock it sur l'album Future Shock est une des bases du Hip Hop Electro développé par Afrika Bambaataa et quelques autres. Grand Mixer DST, un des pionniers du DJing new yorkais figure d'ailleurs sur le disque de Hancock.
      Les origines du Hip Hop sont multiples, c'est ce qui fait son intérêt, et le Funk en fait partie (il deviendra même prédominant au moment du Gangsta rap). Le mouvement électronique allemand en est une autre. Le Jazz également, on y trouve cette même volonté de s'affranchir des frontières qui conduira à la World music, dont le Hip Hop intègre les premiers éléments dès Eric B & Rakim avec Paid in Full.

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    3. Pour préciser ma pensée sur Rock it, plus qu'une base (ce qu'il est pour la suite du mouvement) c'est surtout le première excursion du genre vers la reconnaissance (d'abord du milieu musical, puis du public) mais c'est avant tout le résultat d'une influence réciproque. L'Electro étant déjà actif au moment où Hancock s'en empare, même si jusque là, il n'existe dans l'underground new yorkais qu'à travers des disques tel que le Planet rock de Bambaataa, paru un an avant Rock it, ou principalement des mixtapes et les soirées live du Bronx.
      Un autre précurseur des sonorités électro est Stevie Wonder lors de sa collaboration avec Malcolm Cecil et Robert Margouleff et leurs synthétiseurs avant-gardistes dès le début des 70's (Talking Book, Innervisions...)

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