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dimanche 19 mars 2017
La tétralogie de L'automne Brésilien. Part4 Milton Nascimento (La Valse)
01. Milton Nascimento - Milton Nascimento (Emi) - Sentinela
Et voici mon chouri, mon chéchou... l'artiste Brésilien que l'on aime adorer. Une séduction moins évidente de prime abord ( à bord? Au bord?) ... mais c'est que c'est pour la vie, alors il faut que le désir dure et chez M. Nascimento il y a une étrange glissade sur les mélodies qui semblent fondre.
La tétralogie de L'automne Brésilien. Part3 Jorge Ben (Le Soleil)
Tout ces post, c'est un peu lui et beaucoup mon fil retrouvé sur le Brésil.
Moi je veux bien vous parler de ce sous-continent qu'est le Brésil, mais sous-continent ça sonne un peu comme sous-homme, sous-terrain alors que le Brésil...
La tétralogie de L'automne Brésilien. Part2 Antônio Adolfo (La Chandelle)
01. Antônio Adolfo - Antônio Adolfo - Por Que E Que Voce Se Esconde
02. Antônio Adolfo - Antônio Adolfo - Nao Se Vive De Passado
La tétralogie de L'automne Brésilien. Part1 Aldemaro Romero, un Vénézuelien
En quoi ce titre pourrait influencer mon vote aux présidentielles 2017 France, hein?
01. Aldemaro Romero - Aldemaro Romero And His Onda Nueva - It's Impossible
dimanche 12 mars 2017
The Who - Tommy ... Quand la métaphore déprécie la musique
Avant d'aller à mon propos, sachez, sachons qu'il y a encore peu j'ai écouté "Tommy" EN ENTIER. Que "Tommy" fait parti de ces albums que j'ai souvent écouté en entier. 2*33T ou 2 LP comme vous voulez.
J'ai même les faces dépareillées pour être écoutées sur un phonographe qui acceptait les vinyles en enfilade.
Bon, avant de parler musique, affranchissons nous de suite de l'allégorie.
Tommy, un des premiers Opéra Rock, en gros Tommy raconte une histoire.
vendredi 3 mars 2017
Jim Giuffre Trio, plus cool que ça... tu flottes
Reprise du beau voyage sur le fleuve Jazz. Elle est pas belle ma métaphore, hein? Un petit peu Pompée (le grand) sur le livre de Farmer et son Fleuve éternel.
J'aime cette idée... pas de fin.
Mais avec Jim (l'autre cool) je ne savais pas trop quoi penser. Premières écoutes me barbaient.
Oui, mais.
La vertu que peut avoir un blog, CE blog c'est de s'obstiner. Dehors les arguments "on aime ou on aime pas" ou "Pas obligé de tout aimer"
Vrai, mais je fais confiance aux citoyens (qui ont oublié d'être ..). Jim a ses aficionados et depuis longtemps donc, c'est qu'il y a un accès pour aimer.
Ecoutez, nous avons tous quelque part une zone cérébrale pour le plaisir d'écoute. Mais l'erreur c'est d'oublier le chemin pour l'atteindre.
Il est important, peut-être même davantage.
Il faut stimuler les sentiers peu ou pas parcourus. Sinon on pense ne pas aimer.
Jim Giuffre, le problème c'est l'image du fleuve.
Pas de batterie, pas de piano... Guitare, vents et basse. C'est si frêle que j'ai l'image d'un bateau de papier qui flotterai sur un tout petit ruisseau, peinard, tranquille.
Moi qui me plonge depuis peu mais souvent dans le Parsifal de Wagner ou Tommy des Who, je me trouvais tout perdu par contraste.
Je ne sentais pas de grande émotion, une guitare qui sème gentiment ses notes, une basse en promenade et les souffles de Jim dans mon oreille (j'ai tenté le casque) Bof
Rhaaaaa
Et puis il y a eu ce titre et ses quelques premiers moments de grâce parfois:
01. Jim Giuffre Trio - Jim Giuffre 3 - Crazy She Calls Me
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