Translate

dimanche 26 avril 2020

Lucinda Williams: Une dame, une grande dame, une TRÈS grande dame


Madame Williams vient de sortir un disque. Je pensais, j'aime bien Lucinda Williams, je crois, à moins que je confonde, avec une autre...
Car en fait je n'ai pas grand chose de la dame.
Alors je me rattrape, je lis et je tombe sur un disque récupéré à l'époque du FORUM les "PAPILLONS NOIRS"
celui qui me l'a passé, le disque, l'a fait en pensant à moi.
Forcément



dimanche 19 avril 2020

Pierre Akendengué: Nandipo. Une histoire d'échappée (Merci Didier)


A écouter ces rumba congolaises me revenait du fond de ma mémoire ce souvenir brumeux.

Déjà un fil rouge que j'avais mené jusqu'au bout, une promenade sur le continent Africain musical grâce à un dossier du regretté magazine VIBRATION emprunté en médiathèque.
j'avais fait des copies du dossier, je les propose en PDF dans la drop.

dimanche 12 avril 2020

Wagner, Dr Freud et la Récente Découverte d'un Chapitre que l'on Croyait Perdu.


Cette découverte bouleversante n'a pas surpris les experts en psychanalyse et en particulier l'École Freudienne.
Ce chapitre qui suivait le thème Fantasme/réalité développait l'opposition Calembour/humour.

Dans la section intitulée "Du Calembour Pourri" Freud explique, comme les fantasmes, il en va de même pour les jeux de mot toxiques, le seul moyen de s'en débarrasser c'est de le pratiquer.

Je n'ai pas d'affinité particulière avec le Docteur, mais je devais tenter l'expérience pour neutraliser cette association entre le fromage et les Walkyries de Richard Wagner.

Et ça fonctionne, maintenant je peux librement vous parler de mes journées à continuer la découverte du RING.

Pour ceux que la lecture complète du document Freudien retrouvé intéresse, oubliez, j'apprends que le texte a de nouveau été perdu. Michel Onfray a à peine eu le temps de faire remarquer que Freud n'avait pas le monopole de l'humour, et que le qualificatif de "pourri" n'engageait que lui.

Revenons en à Richard

samedi 11 avril 2020

Clin d'oeil Dico Assayas: Ron Sexsmith, Philippe AUclair, Louis Philippe (Avec AU majuscule) car...



... si vous oubliez le AU, Google vous entraînera dans un autre univers.

Je connaissais Philippe Auclair pour ses goûts en pop sensible, et d'un autre côté je connaissais Louis Philippe. Impossible de me souvenir du comment quand j'ai compris que c'était le même?

Je continue mon dico Assayas et j'en suis à la lettre S. Mais c'est un commentaire de Chris qui m'a rappelé le monsieur.

Si vous possédez le dictionnaire du rock du collectif dirigé (hum?) par Michka Assayas jetez un oeil sur sa chronique de Roy Orbison

... Une banale chanson d'amour interprétée par Orbison prend des accents cosmiques. Son interprétation de "She's a Mistery to Me" serre le coeur comme un accord de Tristan... Son romantisme fut celui de Hölderlin, de Delacroix, de Berlioz....
Mais la musique? C'est bien simple qu'on aime ou pas, dès les premières secondes nous savons.



L'artiste je le découvre en 2005 en même temps que Antony And The Johnsons. Je précise la date juste pour me rappeler que cela fait 15 ans. J'ai l’impression de vivre les années 2000 comme si c'était la même semaine.

mardi 7 avril 2020

PetitPapier 20200407: Bob Seger, Leon Russel. Où il est question de retour (avec un S? Non, c'est chacun son retour! Ha bon)

En attendant de savoir pourquoi elle rit (va pas oser? J'hésite, c'est tentant)

L'idée du petit papier c'est aussi plus de temps car confinement, des fils à reprendre.
Celui du dico Assayas que je lis lentement. Lettre S
Tellement lent qu'entre temps la nouvelle édition est sortie. Pas grave je reprendrais au début.

Donc Bob Seger.
Déjà je traîne le bouquin sur DETROIT, conseil éclairé il y a un temps par Charlu, mais en lecture pareil, mes envies vont plus vite que ma vélocité.

Donc Bob est revenu en 2006.
J'imagine mon fiston:
- C'est important?
- Non.
- Ben alors?
- Justement! puisqu'on s'en fout, M. Seger il a fait bien fait. Même très bien fait:



lundi 6 avril 2020

PetitPapier 20200406: Van Der Graaf Generator. Vital.



Non, non, rien à voir avec le confinement, mais Wagner et ses Walkyries m'ont absorbé et du coup je ne fais que survoler d'autres musiques ... ou je me repose sur du connu.

Régulièrement j'aime revenir sur ce disque et sur un titre en particulier "Still Life"

Cela pourrait être mon titre Totem, comme si tout ce que j'aimais en culture se construisait autour et pas seulement en musique

Dans ce titre et ce disque vous avez tout Van Der Graaf, y compris ce qui peut rebuter.

Il y a l'explication sonore du pourquoi ce groupe n'a pas été jeté aux oubliettes avec les autres grands groupes de rock progressif: violon inquiétant qui nous tourne autour, rythmique tellurique (Et suicide commerciale)

Il y a toutes les voix de Peter Hammill, un lyrisme noir de feu qui porte de bout en bout ce climat plus proche de Lovecraft que de Lewis Carroll: Fermeté, colère, folie et pour finir un timbre vocal limpide, ligne claire pour asséner son "IN ... STILL ... LIFE"

Je repense à ce que ma mémoire a conservé de l'ALEPH de Borges: La vision d'une cité au proportion inquiétante, sans logique humaine, des escaliers inaccessibles qui débouchent sur des murs lisses sans ouverture.
Et au sol, dans des tranchées remplies d'eau sale, des corps qui rampent, à moitié aveugles.
Ils sont les bâtisseurs immortels de cette cité, une immortalité qui pèse, un infini qui n'a gardé qu'un essentiel qui nous échappe.

Si l'auditeur obtient l'émotion que j'ai connue, si il se laisse submerger, alors c'est certains, lui aussi partira en quête vers toutes les musiques pour collectionner d'autres émotions. Une quête sans fin. Quoique?