Le dernier Wim Wenders « Perfect Days », j’en suis sorti tout chose, ému, bouleversé. Peu secoué mais bien remué. Si vous cherchez l’argument il n’y a rien d’attractif dans les événements racontés. Pour attirer le spectateur il faut insister sur la fabuleuse capacité qu’a eu Wim Wenders de filmer le bonheur de vivre, plutôt l’émerveillement qu’offre obligatoirement nos vies, pour démonstration un personnage au quotidien peu flamboyant. Et pourtant… Je vous laisse chercher davantage.
Ce papier pour surtout parler musique. Ce japonais a des gouts probablement atypiques, n’écoute que les années 70, sur des K7, mais attention : Patti Smith, Velvet, Lou Reed, Van Morrison …. Je dodelinais de la tête, la fierté mal placée de celui qui reconnait.
Sauf deux saufs.
Premier sauf, un Rolling Stone que j’ai cru, sans reconnaitre, être un titre du Pink Floyd époque Syd Barret.
Donc nul je suis.