(L'image? Oui, bon, ça va, j'ai quand même fait pire et je ne me suis rien dit)
De toute façon je devais un papier sur madame Vaughan. Et
c’est cette vidéo qui me l’a rappelé. Tout en évoquant un enregistrement inédit
de madame Fitzgerald.
L’œil de Pierre Lescure
Et un Luchini cabotinant distribuant les rôles à Elle Fitzgerald
et Billie Holiday tandis qu’un pauvre Patrick Cohen souhaite placer Sarah
Vaughan sur le piédestal proposé à l’occasion.
Et Anita, Anita, Anita…. Oui, oui, Anita.
Dès que l’on cite deux artistes comme les deux piliers de sa
théorie, j’ai envie du troisième, celui qui colle derrière.
Beatles & Rolling Stones. Un temps j’ajoutais et les
Who, les Who, les Who …. Oui, oui les Who. Pierre Bayard dans son bouquin sur
les univers parallèles « Et Si Les Beatles n’Étaient Pas Nés ? »
Ce sont les Kinks qui se seraient installés à la deuxième place. Mais alors,
les Who ? Hein ? Les Who ?
Retour aux grandes dames.
Un titre pop repris par Ella peu connu dans sa version
(moi-même je cherchais à quoi elle me faisait penser…. A oui, la version
française de Dave)
« Music To Watch Girls By »
Ces voix qui transforment en or n’importe quelle mélodie. Bon,
il suffit d’éviter aussi de prendre n’importe quelle mélodie. Je pense à Nina
Simone qui a beaucoup pratiqué cet exercice.
Madame Fitzgerald m’a scotché sur sa reprise de Alfie. Elle
a entendu l’onctuosité du titre sans s’interdire cette brume qui parsème ces
fins de phrases et rappeler les forces qu’elle retient sur ce grandioooose de
Burt Bacharach.
« Alfie »
Une autre idée m’a traversé l’esprit, quand Pierre Lescure
évoque le Scat, revenons à ma troisième, laissez-lui une petite place à ma
Sarah
« Shulie A Bop »
Alors, hein !! Et madame Holiday que l’on salut au
passage, prête à partager avec Sarah sur ce
« Body & Soul »
Donc c’est bien deux grands albums que je vous propose en
drop.
Une Sarah Be-Bop (Lula ? Non, pas Lula). En
pleine forme et bien accompagnée
« If I Knew Then »
Et ne recherchant pas l’originalité à tout prix, je vous
quitte sur cet éternel rappel qu’Ella offre toujours avec bonheur
« Mack The Knife »
Pour ce papier je n’ai pas réussi, en fait pas cherché à
maintenir ma métaphore sur le fleuve Jazz. Alors pour garder le truc, j’imagine
Ella et Sarah traversant Lyon. Ella Rhône et Sarah Saône (ou l'inverse?) bien je trouve.
là tu attaques les sommets...
RépondreSupprimertoutes des chanteuses qui ont imprimé de leurs voix, le jazz.
ella qui a été tant vantée par france gall/michel berger - mais est-ce pour autant que les fans nostalgiques en radio de la chanson sont allés écouté l'original(e) ? la plus grosse technique vocale et le feeling le plus réel tant que détaché.
sarah a ses adeptes, je n'en suis pas vraiment, même si ...
billie reste inégalable, mais au delà du jazz, un peu comme une callas.
et nina, je n'ai, là encore, pas tant d'engouement que cela, mais un immense respect.
le printemps s'annonce jazz ?...
Bon exemple, La Callas. Un temps par snobisme je cherchai d'autres enregistrements, j'ai fait une erreur magistrale avec NORMA. Cela m'a permis tout de même d'éviter le piège de la voix indépassable. Nina c'est un timbre de voix unique un temps, il faut attraper une chanson frisson et ensuite c'est gagné, mois c'est M. Bojangles.
Supprimerje retiens les Who. De 65 à 73, ils n'avaient pas d'équivalent. Ensuite, Townshend aurait mieux fait de partir en solo.
RépondreSupprimer