Imaginez ce que cette collaboration aurait donné, je pense qu'à ce moment là, je dirai que je pense que je dirai...
En attendant une version courte pour apprécier le rock puis une version pour approcher de tout Zappa...
ça j'aime ==>
ça c'est déjà aut' chose, mais quand on y est ==>
L'interprétation du 1er morceau est incroyable ! :O
RépondreSupprimerLe 2e, un peu trop de cris de Yoko pour moi, mais y'a des passages très cool !
Surtout j'y entrevois ce que je viens de lire et d'entendre, je vais y revenir. Yoko est surtout là (ou ici) pour montrer à quel point elle est ici (ou là) "chez elle"
SupprimerApproximately infinite universe, l'un des nombreux chef d’œuvres de Yoko Ono vient d'être superbement réédité en double vinyl et cd. Fly aussi, pour les plus téméraires (et ceux qui veulent savoir où Alex Chilton a pompé le holocaust de Big Star)
RépondreSupprimer"Holocaust" Je ne te dis pas merci, j'étais tout guilleret puis je suis tombé à cause de toi sur "Madame Lennon"... heureusement je suis en wacances, le ciel est bleu alors je zappa
SupprimerQuel désespoir ça a dû être pour Zappa que d'avoir un public aussi conventionnel ))))
SupprimerC'est pas lui qui disais que les Shaggs étaient meilleures que les Beatles ? Ah ah, le con !
RépondreSupprimerJe me suis fait la même réflexion. Y'a une vidéo d'une émission télé avec Zappa et Beefheart dans laquelle ils se moquent des Beatles, il me semble que le Captain siffle un des premiers tubes du groupe.
SupprimerPour les Shaggs, je reconnais là un Zappa message plus que du second degré, ceci dit, les Shaggs sont juste moins chiants qu'un certain Lou Reed qui lui aussi a eu le droit à une incitation d'un certains Lester à écouter un insupportable disque
SupprimerPour les Beatles, je découvre que Zappa était critique sur le mouvement, pas sur la musique. Tiens? Critique acéré comme Houelbeck sur la période du "summer of love"
SupprimerPeut être tout simplement que ce n'était pas tant avec John Lennon que Zappa tenait à collaborer...
SupprimerPa faux si on en croit la bio. Grande admiration pour la dame, pourquoi ne suis je pas étonné ... et l'auteur de la bio d'ajouter que le Lennon de ce concert qui pourrait "déranger" (?) est rapidement, ouf (!), redevenu le Lennon que ... "Imagine" quoi
SupprimerLennon n'a jamais eu peur de déranger, il suffit d'écouter Two Virgins ou Life with the lions pour s'en assurer (ou Revolution N°9). Pour le clin d’œil, le label expérimental des Beatles s’appelait Zapple ))) Outre les albums perchés de LennonOno, le label fit paraître Electronic Sounds de George Harrison, qui n'est pas anecdotique non plus dans le genre grinçant (Metal Machine Music avant l'heure).
Supprimer