(Le titre a pour origine le calembour d'un copain qui avait surnommé un de ses potes Tolstoï, je vous laisse deviner, Merci Georges)
Je sors de la bio, quelques remarques, vite fait
(Le titre a pour origine le calembour d'un copain qui avait surnommé un de ses potes Tolstoï, je vous laisse deviner, Merci Georges)
Je sors de la bio, quelques remarques, vite fait
C'est comme ça que je fonctionne: découvrir pour moi d'abord car d'abord moi, transmettre, espérer que le relais fonctionne puis passer à une autre envie de découvrir.
Quelques fils pour ne pas le perdre, celui du jazz, MAGIC, les envies de(s) copains, Opera next? Les écoutes de ma mie, les blogueurs aguerris, les bouquins, les etc...
Sans oublier mon IPMIX, application qui tente des compilations à partir d'un titre choisi parmi mes ****. Il justifie ma boulimie à alimenter mon catalogue de musique car souvent et surtout même parfois il harponne mon écoute.
Exemple Luke Elliot "The Big Wind"
... "LHélicon" mais il s'agissait d'Haricots de Mouton)
Reprise du long fleuve Jazz avec cette fois un des plus grands trombonistes, pas si nombreux les réputés.
Et bien content de tomber dessus - je rappelle suivre le fil GIANT STEPS - après l'engragé Max Roach me voici emporté par un instrument que j'adore voir jouer. Le plus adapté à percer le plafond, leur éducation leur interdisant de tutoyer même les étoiles.
Le son le plus apaisé, le plus fraternel, moins de séduction davantage de complicité avec son auditeur.
Comme le temps passe vite. ça fait bien un moment que je voulais chroniquer le dernier Divine Comedy, un chouchou qui m'a réconcilié avec la pop moderne.
J'avais pris une claque avec son album "Casanova". Le genre de disque qui m'a sorti d'une décennie passée à n'écouter pratiquement que de l'Opéra.