Neil Hannon (Divine Comedy) KessKiDevien? On me dit rien à moi. Jusqu'au jour où Romy.....
Comme le temps passe vite. ça fait bien un moment que je voulais chroniquer le dernier Divine Comedy, un chouchou qui m'a réconcilié avec la pop moderne.
J'avais pris une claque avec son album "Casanova". Le genre de disque qui m'a sorti d'une décennie passée à n'écouter pratiquement que de l'Opéra.
"Through A Long And Sleepless Night"
Un titre qui propose un final flamboyant, une renaissance pleine d'énergie
Je rattrape les albums passés, je ne le lâche plus. Jamais déçu, plein d'enthousiasme pour "Forever Land",
2018 une hésitation pourtant sur "Office Politics"
J'y reviens, je retourne l'album.
Mon avis, ma chemise, mes sous-vêtements, j'en change mais le temps désopportune et importune la chronique
2024
Une amie dans le jeu du Cadavre Exquis me fait connaitre un titre rigolo qui fait danser ma petite fille Romy
"Oompa Loompa"
Et je découvre stupéfait mais en restant digne devant ma petite fille que la musique de la comédie musicale "Wonka" a été écrite par Neil Hannon
Les canons du genre sont respectés, et tellement proche du savoir faire de Neil Hannon qu'une fois de plus je m'enthousiasme.
"A Hatful Of Dreams"
Alors?
Alors me voici revenu avec son dernier album "Office Politics"
J'avoue que la thématique choisie me faisait moins rêver, humour, ironie devaient me marcher sur la tête sans pouvoir sauter la barrière de la langue.
Restait la musique
Les premiers titres carrés, plus musclés m'éloignaient du Divine Comedy que j'aimais, ce mélange de pop classieuse, Croone, orchestration de luxe, Comédie musicale.
Il a fallu que j'inverse l'écoute. Irrespectueux de l'oeuvre. La Joconde tête en bas pour apprécier l'énigme du sourire.
Malappris mais bien m'en a pris car j'ai appris
"When The Working Day Is Done" et toujours ses envolée orchestrales.
"After The Lord Mayor's Show" ligne mélodique dont il a le secret
Conquis, c'est gagné.
Maintenant je suis ouvert à toutes ses excentricités, comme ce clin d'oeil à ces deux compositeurs contemporains, Philip Glass & Steve Reich, spécialistes de la boucle répétitive que Neil Hannon a su adapter à son écriture, par exemple "Our Mutual Friend".
"Philip And Steve's Furniture Removal Company" Faire preuve de patience et écouter jusqu'au bout
Et voilà je pourrai proposer, vanter pratiquement tous les titres de l'album, y compris ceux qui m'avaient rebuté au tout début.
Vinyle? Où j'aurai pu avec facilité écouter l'album en inversant l'ordre des titres, hein? Hein? Vive maintenant!!
Je n'ai pas mis en partage ce bonus, dis moi quelle chanson et je complète. Sinon, moi non plus pas fait le lien avec la musique du film, mais à l'écoute de pas mal de titres c'est vraiment des retrouvailles malgré le chanteur, et "malgré" est de trop, car il est bien dans le ton, même si c'est encore Hugue Grant qui séduit... les tout petit, ma petite fille a un an, mais "Oompa Loompa" vaut bien les "Ouba Ouba"
Je me souviens d'un album où il avait viré hard rock. Bon. Mais la pop anglaise, on saute en l'air on est content, je peux pas. Remarque quand ils sont déprimés, ils me gonflent aussi. En plus, ils ont des têtes à claques. Il est là le miracle de la pop, avoir donner l'illusion que les anglais sont beaux )))
Te connaissant (un peu) et le connaissant (à peine davantage) ... je suis très étonné. Il a bien fait une reprise de "No One Knows" de Queens mais il en avait fait un truc à lui. Alors? Quel album
Remarque j'aime bien les Pet Shop Boys. Et Depeche Mode, mais eux ont transcendé les étiquettes. C'est le genre Blur et cie que je supporte pas. Ce que t'as mis en vidéo donne dans ce genre. Je crois que tu le fais exprès 🥸
Je te rejoins sur les Pet Shop Boys, j'ajoute Sparks comme Pop précieuse aussi. Depeche Mode c'est un de mes loupés. Blur? Tu tapes dans le mille en terme de goûts, même si je n'ai pas encore trouvé l'inspiration pour Damon Albarn, peut-être trop sérieux? Neil Hannon c'est son gout pour la grosse orchestration "A Short Album Of Love Songs" je le range à côté du Elvis Presley "The Wonder Of You ...With The Royal Philharmonic Orchestra" Même si artificielle dans le deuxième cas, je craque sur ces effets. Neil Hannon et Pet Shop eux partagent ce sens de l'humour british. Pour le plaisir je me réécoute "Dreaming Of The Queen" , pas la plus drôle mais quelle talent d'écriture dont pourraient s'inspirer pas mal de compositeurs français.... Et au fait? Divine Comedy et le Hard Rock?
Ah oui mais les Sparks sont américains, ça change tout question épaisseur du son. Le hard rock, je sais plus quel album, peut être que je confonds, faudra que je creuse.
Marrant, je me suis toujours demandé si tu n'avais pas eu une formation musicale d'une manière ou une autre, tu me fais penser à un ami qui a parfois cette oreille que je n'ai pas. Je vais utiliser la même remarque pour l'opéra. Je suis sensible à la voix, pour le reste comme tout le monde, comme goûter un vin, je peux apprécier sans être capable de faire des décompositions, je me rattrape sur des impressions globales. Pour le disque Hard je pense que tu confonds.... avec Blur ;-) ??
Pas Blur, c'est vraiment un gars comme celui de Divine Comedy. Et c'est pas Moby non plus, pourtant il fait des disques qui bastonnent. Je vois la tronche du mec, le nom me reviendra. Et non, pas de formation musicale. J'aurais adoré ça, j'ambitionnais de devenir ingénieur du son, hélas la formation n'était pas proposée en CPPN ))) Il en est resté le plaisir d'écouter les disques en mode dissection. Je trouve que le travail du producteur et de l'ingénieur son était essentiel, souvent l'originalité d'un groupe était entre leurs mains. J'aime les disques qui se distinguent à ce niveau là, le mixage de Bowie pour raw power est fantastique, St anger de Metallica, le premier Motörhead avec la production barbare de speedy keen. Dans le registre inverse le travail de Trevor Horn sur Welcome to the pleasuredome m'avait collé au mur.
Tu as bien fait, très dépouillé, mais ce titre est superbe, quelques effets mélodiques familiers? J'ai réécouté "Never Ending Story" qui est revenu en mémoire. avec ce court moment ... "never ending storyyyyyy" au refrain comme pour "swallloooowwww". Pas grand chose mais c'est réapparu.
Le Divine.. marrant mon comportement. Totalement foudroyé par "Regeneration" j'imitais la moue pour les autres suivants. Reproche de ne pas avoir gardé ce somment pop sombre et jaune. Sinon pop classieuse pour tout moment.
L'inverse pour moi, période creuse s'agissant de mes écoutes de Divine, j'ai une sacré période à rattraper, déçu par "fin de siècle" je reprends avec assiduité à partir de "foreverland" Promis si j'y retourne ce sera pour "regeneration" même si je suis tombé "amoureux" de "our mutual friend" du vécu par bibi
Je n'ai pas mis en partage ce bonus, dis moi quelle chanson et je complète. Sinon, moi non plus pas fait le lien avec la musique du film, mais à l'écoute de pas mal de titres c'est vraiment des retrouvailles malgré le chanteur, et "malgré" est de trop, car il est bien dans le ton, même si c'est encore Hugue Grant qui séduit... les tout petit, ma petite fille a un an, mais "Oompa Loompa" vaut bien les "Ouba Ouba"
RépondreSupprimerHaaa crouellla... le titre, le titre, je l'ai le bonus mais pas écouté... allez quoi
RépondreSupprimerJe me souviens d'un album où il avait viré hard rock. Bon. Mais la pop anglaise, on saute en l'air on est content, je peux pas. Remarque quand ils sont déprimés, ils me gonflent aussi. En plus, ils ont des têtes à claques.
RépondreSupprimerIl est là le miracle de la pop, avoir donner l'illusion que les anglais sont beaux )))
Te connaissant (un peu) et le connaissant (à peine davantage) ... je suis très étonné. Il a bien fait une reprise de "No One Knows" de Queens mais il en avait fait un truc à lui. Alors? Quel album
SupprimerRemarque j'aime bien les Pet Shop Boys. Et Depeche Mode, mais eux ont transcendé les étiquettes. C'est le genre Blur et cie que je supporte pas. Ce que t'as mis en vidéo donne dans ce genre. Je crois que tu le fais exprès 🥸
SupprimerJe te rejoins sur les Pet Shop Boys, j'ajoute Sparks comme Pop précieuse aussi. Depeche Mode c'est un de mes loupés. Blur? Tu tapes dans le mille en terme de goûts, même si je n'ai pas encore trouvé l'inspiration pour Damon Albarn, peut-être trop sérieux? Neil Hannon c'est son gout pour la grosse orchestration "A Short Album Of Love Songs" je le range à côté du Elvis Presley "The Wonder Of You ...With The Royal Philharmonic Orchestra" Même si artificielle dans le deuxième cas, je craque sur ces effets. Neil Hannon et Pet Shop eux partagent ce sens de l'humour british. Pour le plaisir je me réécoute "Dreaming Of The Queen" , pas la plus drôle mais quelle talent d'écriture dont pourraient s'inspirer pas mal de compositeurs français.... Et au fait? Divine Comedy et le Hard Rock?
SupprimerAh oui mais les Sparks sont américains, ça change tout question épaisseur du son. Le hard rock, je sais plus quel album, peut être que je confonds, faudra que je creuse.
SupprimerMarrant, je me suis toujours demandé si tu n'avais pas eu une formation musicale d'une manière ou une autre, tu me fais penser à un ami qui a parfois cette oreille que je n'ai pas. Je vais utiliser la même remarque pour l'opéra. Je suis sensible à la voix, pour le reste comme tout le monde, comme goûter un vin, je peux apprécier sans être capable de faire des décompositions, je me rattrape sur des impressions globales.
SupprimerPour le disque Hard je pense que tu confonds.... avec Blur ;-) ??
Pas Blur, c'est vraiment un gars comme celui de Divine Comedy. Et c'est pas Moby non plus, pourtant il fait des disques qui bastonnent. Je vois la tronche du mec, le nom me reviendra.
SupprimerEt non, pas de formation musicale. J'aurais adoré ça, j'ambitionnais de devenir ingénieur du son, hélas la formation n'était pas proposée en CPPN ))) Il en est resté le plaisir d'écouter les disques en mode dissection. Je trouve que le travail du producteur et de l'ingénieur son était essentiel, souvent l'originalité d'un groupe était entre leurs mains. J'aime les disques qui se distinguent à ce niveau là, le mixage de Bowie pour raw power est fantastique, St anger de Metallica, le premier Motörhead avec la production barbare de speedy keen. Dans le registre inverse le travail de Trevor Horn sur Welcome to the pleasuredome m'avait collé au mur.
Tu as bien fait, très dépouillé, mais ce titre est superbe, quelques effets mélodiques familiers? J'ai réécouté "Never Ending Story" qui est revenu en mémoire. avec ce court moment ... "never ending storyyyyyy" au refrain comme pour "swallloooowwww". Pas grand chose mais c'est réapparu.
RépondreSupprimerLe Divine.. marrant mon comportement. Totalement foudroyé par "Regeneration" j'imitais la moue pour les autres suivants. Reproche de ne pas avoir gardé ce somment pop sombre et jaune. Sinon pop classieuse pour tout moment.
RépondreSupprimerL'inverse pour moi, période creuse s'agissant de mes écoutes de Divine, j'ai une sacré période à rattraper, déçu par "fin de siècle" je reprends avec assiduité à partir de "foreverland" Promis si j'y retourne ce sera pour "regeneration" même si je suis tombé "amoureux" de "our mutual friend" du vécu par bibi
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