C’est déjà quand mon dernier nœud sur le fil Jazz, mon dernier arrêt sur ce fleuve ? Juillet 2024.
Et alors, une grosse pôooose ?
Mais non, je suis parti suivre un autre flux qui m’a embarqué et ce n’est pas fini, ça commence ici
http://lifesensationsinmusicii.blogspot.com/2024/06/si-vous-aimez-le-jazz-01.html
Cela dit je décide de le reprendre mon voyage, plutôt je décide de voir quel sera la prochaine escale, la prochaine écoute. Sarah Vaughan, bien.
Album « Sarah Vaughan With Clifford Brown” bien.
Premier titre, chouette le titre “Lullaby Of Birdland » bien.
Bon je m’ébroue, je change de titre pour sortir de cette torpeur bien dangereuse
L’envie d’avoir la pochette de disque en main, de la regarder en biais pour que Sarah me regarde, car c’est pour moi qu’elle chante Sarah. Illusion bien agréable ... si j'avais le vinyle.
Heureusement il y a le grandiooose Clifford Brown qui me tire les oreilles, écoute moi ça et abandonne cet air niais.
"Comme Johnny..!!" c'est bien tu oses.. moi j'en jaunis à l'idée, rien que d'y penser. Heureusement qu'elle ne s'appelle pas Vighott. Bref, ça fait du bien..d'écouter cette dame, et je bloque sur "September song", je l'adore, et je peu pas m'empécher d'aller vers Jeff Lynne assis sur son Armchair Theatre et sa version de cette sublime chanson. C'est inépuisable.. Sarah, Billie, Aretha.. même si mon amour absolue reste Nina..mais c'est une autre histoire.. Nina..and Nina again... labiz
RépondreSupprimerEt je rebondis sur ton commentaire, j'écoute la version de Jeff Lyne et dans la foulée les deux albums de reprises avec "Long Wave" et tel Costello une reprise de Aznavour SHE, sur spotify ce qui fait mal c'est que SHE est une des chansons proposées pour Costello... Bon, sa version est chouette.
SupprimerCalembour: je me disais avec "Jaunie" finalement t'es pas meilleur que moi... et puis il y a eu "Nina Again" je m'incline....
Le problème est d'avoir commencé avec elle sur Lullaby, hit absolu et envoûtant et de n'avoir plus jamais vibré aussi fort, la voix n'étant pas suffisante , à contrario de Billie Holiday, Nina Simone et Aretha. Je rajoute dans les voix jazz, l'incomparable pour moi Bessie Smith, je ne sais pourquoi elle m'envoûte tant... Tu me confrontes à "Nobody Knows You When You're Down And Out " de 1929 et pour moi le temps s'arrête...
RépondreSupprimerDeux morceaux m'ont réconcilié avec la voix de Sarah, Aint no Use et Gloomy Sunday sur The Divine One de 1961, mais j'ai du mal avec le reste, même si à contrario de Ella elle savait avoir des orchestres qui la servent (et non l'inverse, sacré Louis !).
"Nobody Knows You When You're Down And Out" en écoute. Et du coup le reste, le temps semble même nous entrainer et même dépasser nos jeunesses. C'est idiot ce charme des vieux enregistrements en noir et blanc à gros grains.
SupprimerMadame Vaughan je la découvre sur un autre album "Swing Easy" que je vais proposer, époque où je ne jurai (presque) que par Bop, Post Bop, Hard Bop, Be Bop ... "Divine One"? Je note